metal/hardcore

Rolo Tomassi en concert à Paris demain mercredi 21 mars

On aura l’occasion de développer dans une chronique qui arrivera sous peu, mais les anglais de Rolo Tomassi viennent de sortir un monstrueux nouvel album de hardcore/post-hardcore copulant avec l’indie rock, et heureux hasard, il se trouve qu’ils passent demain soir en concert à Paris à l’Olympic Café sous la houlette d’Alternative Live.
Si vous ne savez pas quoi faire demain ou voulez voir les rosbeefs sur scène n’hésitez pas à faire le déplacement ça devrait envoyer comme il faut.
Ils seront accompagnés de Palm Reader et Cryptodira.




 
Plus d’infos ici :
https://www.facebook.com/alternativeliveprod/
https://rolotomassi.bandcamp.com/album/time-will-die-and-love-will-bury-it

The Central – Sick And Dying

The Central est un duo guitare/batterie du Wisconsin très productif depuis ses débuts (de très nombreux EP et albums) et ultra inventif, mixant math rock et influences davantage post-hardcore (avec plein d’autres sonorités plus ou moins expérimentales). Découvert pour ma part avec leur précédent album Discovery Of A Rat (2016), ce Sick And Dying poursuit dans le même sillage, constitué de moments de folie côtoyant d’autres plus atmosphériques, tout ça avec un maximum d’inattendu…
« Polio Dancer » donne le ton, un mélange d’harmonies vocales à l’ancienne sur fond de rythmiques sautillantes alternées avec une folie autant instrumentale que vocale, on [...]

MouthBreather – Pig

2017 est derrière nous depuis quelques mois mais on n’en a clairement pas fini de dénicher des perles passées inaperçu à cette période. Dernier exemple pour ma part que ce Pig de MouthBreather, jeune groupe originaire de Boston livrant un furieux et réjouissant premier album mixant grindcore et éléments plus expérimentaux du hardcore, chaotique le hardcore, cela va de soi !

Void Of Vision – Disturbia

Un an après Children Of Chrome, revoici les australiens de Void Of Vision armés cette fois d’un EP quatre-titres, histoire de ne pas se faire oublier au milieu des sorties metalcore/hardcore locales, vraiment très nombreuses dans le créneau. Pas de véritable changement au niveau de l’angle d’attaque, on est toujours dans du puissant et calibré.

Calligram – Askesis

Groupe international, comprenant des membres italiens, brésiliens et français, basé à Londres, Calligram s’est fait remarqué par Basick Records, label autrefois très en vue (mais beaucoup plus discret ces dernières années) en matière de metal à tendance progressive voire djent (qui a vu éclore de nombreux groupes talentueux comme The Arusha Accord, Devil Sold His Soul ou encore No Made Sense) . Rien à voir chez ce jeune groupe officiant plutôt dans un blackened hardcore particulièrement féroce.

Necrodancer – Void

Necrodancer, c’est la réunion de membres (ou ex-membres) de groupes s’étant fait un nom dans le petit monde du hardcore (au sens large du terme) franco-belge, ces derniers ont en effet fait leurs armes chez Verdun, Daggers, Death Mercedes et L’Homme Puma. Du beau monde qui a décidé de troquer leur style originel pour un gros rock de squats, urbain et crade, mâtiné de punk et de (black) metal.

Widespread Disease – Chaos

Premier long-format pour Widespread Disease, groupe parisien qui avait jusqu’alors sorti trois EP (en autant d’années) suite à leur formation en 2011. Trois ans plus tard sort donc Chaos, premier album au nom prédestiné ?
Les deathcore des parisiens sonne d’emblée de manière assez familière, on est très proche de Whitechapel pour le côté in your face tant de la voix (assez versatile, on va y revenir) que des guitares, puis il y a ces quelques refrains en voix clean qui débarquent le temps du morceau-titre puis de « The Flight Of The Great Unknown », je reste un peu mitigé [...]

Minors – Atrophy

Sorti en fin d’année 2017 alors que la période était à la recherche de cadeaux et de préparation de vacances de Noël, ce n’est qu’un bon mois plus tard que je me suis vraiment mis à ce nouvel album des canadiens Minors, pourtant fortement aguiché par la vidéo de « Miseranaut », sortie quelques mois plus tôt. Bref, il n’est jamais trop tard pour s’intéresser à un bon album !