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Kava Hu – Carnivore

Kava Hu, ce sont trois allemands (dont deux frères) qui ont un beau jour décidé de jouer une musique à la fois brutale, technique et uuuultra lourde. Après deux EP (ou un EP en deux parties, Tales From The Dark Side: part I et II, sortis respectivement en 2013 et 2018), le trio revient avec Carnivore, un premier long-format qui ne laissera pas indifférent les fans de breakdowns alliés à un peu de complexité.

Tracheotomy – Dissimulation

Comme dit l’adage: « la mode est un éternel recommencement ». Rien n’est plus vrai aujourd’hui en musique avec par exemple le néo metal qui vit une seconde jeunesse ces derniers temps. Point de néo chez Tracheotomy mais un deathcore des origines qui aurait très bien pu tourner en boucle sur vos players Myspace en 2005.

Our Last Crusade – Death Wins

A la tête d’une riche discographie entamée il y a douze ans déjà, Our Last Crusade fait partie de cette longue lignée de groupes canadiens qui aiment leur metal bien épais. Préférant le groove à la technique de nombre de leurs compatriotes, le groupe de Calgary propose avec ce Death Wins, un nouvel album à la croisée du deathcore, du metalcore progressif et du djent.

[Live-report] Impericon Never Say Die! 2022

Dimanche 20 Novembre 2022 au Futurum (Prague, République tchèque):

Devenu une référence pour les amateurs de metalcore, l’Impericon Never Say Die! faisait son retour après une édition 2021 annulée. Cette sorte de mini-festival lancé par le site de fringues allemand du même nom a réussi cette année a reconduire quelques noms prévus l’an dernier (Spite, Currents, Invent Animate) et en a ajouté quelques autres pour un total de sept groupes (meme célèbre: ça fait un peu beaucoup là non ?!).
Arrivé à l’heure du thé au Futurum (salle pragoise d’une capacité d’environ 500 personnes), c’est à Boundaries que [...]

Virgil – Acheron

Deux ans après le sympathique Divina Infernum (2020), les nordistes de Virgil reprennent du service, cette fois chez les découvreurs de talents bien de chez nous Source Atone Records. Avec son titre (et de même avec ceux des morceaux), Acheron a pour thème central la mythologie grecque et romaine, soient des inspirations de grandeur qui vont de pair avec un album spectaculaire.

Omnifariam – The Summoning

Si je vous dis « Puerto Rico », vous me répondrez certainement « océan », « plage », vacances » mais surtout pas « death metal ». Omnifariam en provient et prouve qu’on n’a pas forcément besoin de fjords ou de paysages enneigés pour faire du metal extrême !

Lorna Shore – Pain Remains

Alors d’habitude le deathcore et moi ça fait vraiment deux… La claque n’en a été que plus grande en écoutant ce nouvel album de Lorna Shore juste « au cas où » après avoir reçu l’album en streaming promo dans la boite mail… Et pourtant Century Media se fout un peu de la gueule des chroniqueurs en proposant un stream de pauvre qualité sonore, ce qui est d’autant plus regrettable que la musique des américains est très chargée et dense. Cette qualité déplorable aurait pu gravement desservir l’écoute au point de me faire passer à côté des qualités bien réelles de [...]

Darko US – Oni

J’aurais très bien pu vous dire de partir tout de suite si vous êtes allergique au deathcore, mais Darko US en propose une version si personnelle qu’il y a là de quoi vous interpeler (c’est mon cas, le style ne me passionnant plus des masses). Le duo composé de Tom Barber (Chelsea Grin) et Josh Miller (Spite) se plait en effet à renouveler le genre en intégrant des atmosphères tantôt electro vaporeuses, tantôt provenant du néo metal (qui vit un véritable retour en grâce), à son extrême brOOtalité instaurant un climat très hostile à cette seconde livraison.

Becoming The Archetype – Children Of The Great Extinction

Cela faisait presque dix ans que Becoming The Archetype s’était mis en pause, le trio originaire d’Atlanta a décidé de remettre le couvert dans sa forme originelle de trio (Jason Wisdom – chant/basse, Seth Hecox – guitare/synthé/chant clean et Brent Duckett – batterie, ensemble depuis 2004) avec l’envie de créer un concept-album (au nom rappelant un peu le film Children Of Men) sur fond de science-fiction.

Nicolas Cage Fighter – The Bones That Grew From Pain

Avouons-le tout de suite, sans un tel jeu de mots pour patronyme, je ne me serais jamais penché sur Nicolas Cage Fighter (enfin cela n’égale tout de même pas nos Tina Turner Fraiseur !). Pourtant derrière ce nom prêtant à rire, ces australiens n’ont pas du tout envie de rigoler ! Pour son premier album (sortant conjointement sur Metal Blade Records et Blacklight Media), le quartet de Ballarat entend mettre au goût du jour le hardcore metal des 90’s avec quelques lichettes de death metal.