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Frank Carter & The Rattlesnakes – Dark Rainbow

Même si l’on a pas parlé de lui depuis Modern Ruin (2017), Frank Carter & The Rattlesnakes a depuis poursuivi son rythme de croisière, à savoir un album tous les deux ans: l’acclamé End Of Suffering en 2019 puis le mitigé Sticky en 2021. Comme pour ce dernier Dark Rainbow devrait diviser un peu les fans tant le britannique fait un grand écart stylistique…

Infant Island – Obsidian Wreath

Après avoir sorti quasiment coup sur coup un EP (Sepulcher) puis un album (Beneath), tous deux en 2020, on ne s’attendait pas à devoir attendre autant avant d’avoir une suite (surtout que l’album était cruellement court). Et après plus de trois ans et demi de calme plat, le groupe de Virginie fait enfin son retour, cette fois chez Secret Voice, label dont le boss n’est autre que Jeremy Bolm, vocaliste de Touché Amoré.

Othiel – We Will Be Our Home

Alors que nombre de nos confrères webzines ont à peine attendu décembre (ou même pas) pour publier leurs bilans de l’année, nous en sommes à continuer à découvrir des albums susceptibles de bouleverser ces tops. Othiel et son We Will Be Our Home en fait partie ! Après un premier EP en 2019 (Mai), le groupe californien a sorti (trop discrètement) son premier long-format chez l’excellent Zegema Beach Records.

Codeseven – Go Let It In

Second comeback pour Codeseven ! Le groupe de Caroline du Nord aura connu différentes vies avant de revenir par surprise en cette fin d’année 2023. Des débuts dans le punk hardcore avec relents néo metal (avec un certain Kurt Ballou à la prod), le groupe composé par les frères Tuttle (James à la guitare, John à la basse et Matt à la batterie) aura radicalement adouci son propos avec l’album The Rescue (2002) avant de stopper ses activités en 2005. Le groupe se reformera en 2010 pour un concert puis mettra enfin fin à un nouveau silence de treize [...]

Trainfantome – Thirst

Autrefois projet solo du nantais Olivier Le Tohic, Trainfantome est désormais un groupe à part entière aux influences plutôt larges. Thirst, leur nouvel album, s’illustre en effet en sillonnant au travers de multiples courants, du shoegaze à la (bedroom) pop en passant par l’emo, le grunge ou le post-hardcore tout en conservant cette aura lo-fi (mais parfaitement audible).

Koyo – Would You Miss It?

Valeur montante de la scène pop-punk/emo/hardcore mélodique originaire de Long Island, Koyo a été monté par d’anciens SeeYouSpaceCowboy ayant décidé de jouer sur la fibre nostalgique. Would You Miss It? se révèle complètement comme un condensé de tout ce qui fonctionnait dans le(s) genre(s) fin 90’s/début 2000.

Movements – RUCKUS!

Troisième album pour les californiens Movements, au nom vous rappelant peut-être une participation au Fixed It All de Paerish. En effet, son chanteur Patrick Miranda apparait sur le titre « You & I » des parisiens, et même si l’approche musicale des deux groupes n’est pas exactement la même, il existe une réelle filiation entre les deux groupes, au point par exemple de sortir leur dernier album le même jour (coïncidence).

Øjne – Sogno #3

Ayant connu une belle effervescence screamo au début des années 2000 avec l’avènement de groupes comme Raein ou La Quiete – ces derniers semblant désormais en pause indéterminée (ou définitive ?) – c’est un peu le calme plat dans la scène italienne depuis. Pourtant Øjne a repris le flambeau avec emphase depuis quelques années, renouant avec cette tradition de nerfs et de mélodies sur fond de vocaux arrachés et de spoken words dans la langue de Dante, fortement réussie sur Prima Che Tutto Bruci (excellentissime album sorti en 2017).

Trophy Eyes – Suicide And Sunshine

Trophy Eyes a toujours choisi l’entre-deux, proposant depuis ses débuts (il y a dix ans tout pile) une combinaison personnelle de hardcore à tendance mélodique et de pop-punk, un mélange osé (ou casse-gueule) que le groupe australien a su imposer, notamment sur le très bon Chemical Miracle que mon collegue Krakou avait encensé à l’époque de sa sortie. Depuis, un changement de line-up est arrivé durant la confection de ce quatrième album avec le départ du guitariste fondateur Andrew Hallett, suppléé par Josh Campiao (Hellions).

Fragile – …About Going Home

Vous imaginez le topo… Les angevins qui montent sur scène et annoncent à l’auditoire : « salut on est Fragile! ». Voilà qui pourrait presque passer pour un pari! C’est en tout cas le nom que s’est choisi ce combo bien de chez nous, au sein duquel on trouve des membres anciens ou présents de LANE, Wild Fox, Scuffles ou encore Dogs For Friends. Je ne sais pas pour vous, pour ma part si je connais bien Lane, dont j’ai d’ailleurs chroniqué le très bon deuxième album dans nos pages, les autres groupes me sont parfaitement inconnus.
Peu importe le nom [...]