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Endonomos – S/T

Quartet autrichien composé de membres de Distaste (grindcore) et d’ex-Cemetery Dust (thrash metal) entre autres, ces habitués des rythmiques enlevées ont décidé de fortement abaisser leur tempo sur Endonomos. Vous l’aviez déjà compris en lisant leur style, c’est bien du côté du doom/death que ce jeune groupe (formé l’an dernier) s’oriente.

Heruka – Memorie

Né en 2000 comme projet d’un certain Adranor (Legion Of Darkness, Throne Of Molok), Heruka a connu en 2016 une nouvelle phase comme un groupe à part avec l’arrivée de comparses et encore plus récemment puisqu’un nouveau préposé à la basse a fait son arrivée il y a quelques mois (le fidèle Moha, arrivé en 2005, reprenant son poste de guitariste pour l’occasion). Des mouvements de line-up qui n’affectent pas tellement les envies musicales des italiens, s’orientant vers un black metal à tendance mélodique depuis ses débuts.

Helge – Neuroplasticity

Groupe danois formé en 1996, Helge (prénom d’un des guitaristes) aura attendu pas moins de vingt-six ans pour sortir un premier album (que voici), simplement précédé par trois singles l’an dernier. Aucune idée du pourquoi d’une telle attente, mais c’est le très bon label Vendetta Records qui a sauté sur l’occasion pour sortir ce Neuroplasticity.

No Bragging Rights – S/T

Ayant eu le vent en poupe il y a quelques années, notamment suite à la sortie de The Consequence Of Dreams en 2009 (qui au passage est la toute première sortie de Pure Noise Records), on a plus eu de news du groupe mené par Mike Perez (seul membre fondateur restant) depuis 2014. Une petite refonte interne plus tard (le bassiste et un guitariste sont partis) et revoilà le groupe de Riverside de retour avec ce nouvel EP sous le bras.

Rituals – Invicta

Jeune groupe australien formé en 2017, Rituals sort avec ce Invicta son second EP après Neoteric Commencements (2018). Officiant dans un death metal mélodique inspiré par la scène scandinave, le trio parvient à éviter les clichés du style en se concentrant sur des riffs puissants complétés par des vocaux bien gras.

Drouth – Excerpts From A Dread Liturgy

Autrefois nommé Contempt, Drouth vient de Portland et se compose de membres expérimentés, certains ayant fait leurs armes chez Vermin Womb ou Petrification. Pour son second long-format, le groupe a atterri chez Translation Loss Records (Wake, Teeth ou encore Rosetta) qui renouvelle encore une fois son roster en matière de metal extrême. Car Drouth en joue, et bien !

Ringarë – Sorrow Befell

Ringarë est l’un des innombrables projets d’Alex Moon (aka Esoterica, qui officie dans Chaos Moon, Krieg, Gardsghastr, Skaphe etc.), débuté en 2004 sous le nom de Ringar (mais ne l’est nullement, ringard). Redémarré en 2018 sous ce (quasi) nouveau nom, le projet est devenu duo avec la présence derrière le micro du suédois Likpredikaren (Demonomantic, Summum ou Ars Hmu, ce dernier déjà avec Esoterica). Suite à un premier album (Under Pale Moon) et une démo sortis l’an dernier, voici Sorrow Befell sortant chez le prolifique Iron Bonehead Productions.

Night Crowned – Impius Viam

Jeune groupe monté en 2016 à Gothenburg autour de J. Jaloma (batteur de Dark Funeral, ex-Nightrage), Night Crowned tente de faire revivre le death/black metal mélodique façon Dissection. En effet, ce premier album Impius Viam contient de très nombreux éléments nous ramenant vers Storm Of The Light’s Bane, notamment cette faculté à combiner la puissance ravageuse du black/death à la suédoise et des mélodies provenant d’atmosphères très travaillées, voire de passages acoustiques.

Like Moths To Flames – Where The Light Refuses To Go

Rare survivant de cette seconde vague de metalcore imbibé de « post-hardcore » (avec guillemets car il s’agit ici de sa version ricaine bien sucrée), Like Moths To Flames a toujours eu un rythme de croisière pour ses sorties d’albums, une tous les deux ans. Sauf que début 2019, le groupe de Columbus, Ohio, a quitté le fameux Rise Records pour aller chez les australiens de UNFD. Une signature célébrée par ce Where The Light Refuses To Go, premier EP trois-titres où le groupe semble vouloir démontrer qu’il a toujours de l’énergie à revendre.

Wilderun – Veil of Imagination

Il est des pochettes qui vous saisissent immédiatement et vous subjuguent. Celle de Veil of Imagination m’a ainsi immédiatement interpellé puis fasciné, me donnant dès lors une irrépressible envie de me plonger dans l’écoute de cet album, sans avoir a priori la moindre idée de ce qui m’attendait. Bien m’en a pris car le contenu s’est avéré largement à la hauteur du contenant. Je n’avais pourtant que survolé le précédent (et deuxième) album des américains de Wilderun, Sleep at the Edge of Earth, sorti en 2015, et n’en gardais (et pour cause), aucun souvenir particulier. Ce disque, parfois décrit [...]