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Gates – Parallel Lives

Formé en 2011 par d’anciens membres de Lydia et de Bears & Bright Lights, Gates vient du New Jersey et distille une musique pas des plus répandues sur son label Pure Noise Records. En effet, nulle trace de pop-punk ou de (post) hardcore à l’horizon mais un mélange d’indie-rock, de post-rock et d’emo (premier du nom) pour un Parallel Lives, second album du quintet, à l’atmosphère sereine plutôt envoutante.

Terrible Love – Change Nothing EP

Apparaissant en ce début d’année 2016, Terrible Love n’est pourtant pas un groupe débarquant de nulle part. Le jeune groupe londonien compte en effet en ses rangs des membres de groupes étant (ou ayant été car nombre d’entre eux ont splitté) très reconnus dans le microcosme hardcore britannique. Ainsi des membres de Bastions, Goodtime Boys, Funeral For A Friend, Crocus et Grappler (oui, c’est un line-up plutôt excitant !) ont donc décidé de fonder ce nouveau groupe au propos à forte teneur émotionnelle (comme nombre de leurs groupes originels).

Edinburgh Of The Seven Seas – Inlandsis

C’est assez plaisant de recevoir une proposition de chronique pour un groupe ayant un nom assez énigmatique pour donner envie d’en rechercher la signification. Edinburgh Of The Seven Seas est donc le nom d’un village, l’unique village de l’île volcanique Tristan Da Cunha (qui fait partie de Sainte-Hélène). Voilà pour la petite minute culturelle et la découverte d’un territoire loin de tout, semblant aussi intriguant que fascinant.

Svalbard – One Day All This Will End

Dans le top de tête des jeunes groupes anglais ayant émergé ces dernières années, Svalbard donne enfin une suite à leur excellent EP Gone Tomorrow sorti il y a deux ans et à leurs trois titres parus sur le split avec Pariso. Cette suite s’appelle One Day All This Will End, soient huit nouveaux titres alliant puissance et rage avec une sensibilité faisant la différence.

We Lost The Sea – Departure Songs

Departure Songs, un titre tel un nouveau départ pour We Lost The Sea, groupe australien officiant jusqu’alors dans un post-metal déjà fortement immersif (sur Crimea en 2010 puis sur The Quietest Place On Earth en 2012), évoquant des influences telles qu’Isis. Trois ans plus tard, dont deux dédiées à l’écriture de ce troisième album, le groupe de Sydney signe son retour de la manière la plus étonnamment apaisée qui soit.

Helios – Yume

Multi-instrumentiste ultra prolifique dans divers projets – Goldmund et Mint Julep (ce dernier dans lequel il officie avec sa compagne Hollie) – Keith Kennif est Helios, projet entre ambient et post-rock actif depuis 2004. Yume, son dernier album en date correspond parfaitement à son titre signifiant « rêve » en japonais, soient dix nouveaux titres parfaits pour laisser l’âme des auditeurs divaguer…