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The Kindred – Life in Lucidity

Ça faisait un bail que je ne m’étais pas enthousiasmé pour un album de cette façon. Faut dire que le groupe, dont je n’avais jamais entendu parler il y a quelques semaines encore, a su distiller sur youtube quelques extraits de ce premier album, 3 « singles » qui m’ont tour à tour intéressés, en particulier le tube « Everbound », qui se révèle au fil des écoutes après le moment de stupeur initial être une bombe intégrale, une explosion de rythmes et de mélodies marquants, au refrain particulièrement impressionnant, rythme cabossé monochromatique surboosté et à la mélodie de voix épique à souhait.

We Are Waves – Labile

Avec un tel nom, les italiens de We Are Waves auraient pu officier dans un style emo/metalcore à la mode, or fort heureusement il n’en sera rien. Faisant suite à un EP sorti en 2012, Labile, le premier long-format du groupe s’emploie à mettre un coup de neuf à la new wave, et le fait plutôt bien !

Wild Throne – Blood Maker (EP)

Mais d’où sortent-ils ceux là encore?? O_O Décidément, il convient de s’intéresser de près au label Brutal Panda, qui nous a encore déniché là une petite perle. Wild Throne est un trio américain qui se faisait auparavant appeler Dog Shredder.

Transatlantic – Kaleidoscope

Le « All Star Band » du rock progressif est de retour ! Rappelons pour les néophytes qu’il s’agit d’un super groupe fondé en 2000 par les membres de quatre cadors du prog ou du métal progressif : Neal Morse (Spock’s Beard) aux claviers, Roine Stolt (The Flower Kings) aux guitares, Pete Trewavas (Marillion) à la basse, Mike Portnoy (ex – Dream Theater, The Winery Dogs, Adrenaline Mob et cent autres projets) à la batterie. On peut ajouter que tout le monde chante plus ou moins dans le groupe, et qu’il est souvent (un peu sur album mais surtout beaucoup sur scène) rejoint [...]

Jolly – The Audio Guide to Happiness (part I et II)

Jolly est un groupe new-yorkais qui, ça vous a peut-être échappé, a sorti l’année dernière le deuxième volet de son Audio Guide to Happiness, un double album donc (dont le premier volet date de 2011), au concept un poil fumeux puisque le groupe met en avant le son « binaural » utilisé sur l’album, qui serait paraît-il un artefact sonore permettant de produire une fois perçu par le cerveau, un état de bonheur chez les sujets exposés à cette technique sonore.

Terrolokaust – Spit the poison out

Pour ceux qui ne connaissent absolument pas Terrolokaust, leur découverte provoquera sans doute 2 surprises. La première a trait à leur origine :  ils sont espagnols ; la seconde réside dans le fait que, malgré un patronyme qui n’évoque pas les champs de petites fleurs fragiles, ils ne s’adonnent pas à de l’harsh EBM bas du front. Amateurs de sensations très fortes, passez donc votre chemin. Amateurs de bonne musique musclées, restez parmi nous. Sauf si vous êtes ibéricophobes.

Septa – The Lover

Nous arrivant tout droit d’Odessa (Ukraine), Septa nous offre (littéralement puisque c’est en téléchargement gratuit sur Bandcamp) un EP particulièrement intéressant avec The Lover. Assez difficilement classable, le groupe emprunte des éléments de différents styles pour un résultat final singulier et surprenant.

Castles – Fiction or Truth?

« Putain, y’a faute Monsieur l’arbitre ! » Derrière ce génial artwork se cache Castles, trio aux deux tiers belges et un tiers anglais, et cet anglais-là ça fait bien plaisir de le retrouver dans un groupe ! Il s’agit en effet d’Edward Godby, qui officiait auparavant chez les énormes Beecher, groupe n’étant jamais parvenu à obtenir la reconnaissance qu’il mérite en dépit d’une signature sur Earache à l’époque.

Bateleuse – Ruines & Ravins

En ces temps de musique dématérialisée et de baisse de production de CDs, tomber sur un objet original fait toujours plaisir. C’est le cas de Ruines & Ravins, premier album de Bateleuse, qui se présente sous un très joli format. Une jolie boite circulaire métallique renfermant un livret composé de feuilles de calques attachées par une ficelle, le CD lui-aussi joue sur la transparence. Bref, ça sent l’artisanal et la minutie, de quoi inciter à écouter…

East of the Wall – Redaction Artifacts

Une fois n’est pas coutûme, ce n’est pas jonben qui va chroniquer le dernier East of the Wall. Après tout, y’a pas de raison. Même si nous avons des bases communes, il y a bien longtemps que lui et moi n’avons plus de coups de coeur en commun. De plus mauvaises langues que moi diraient que la vague djent lui a cramé toutes ses papilles musicales, mais j’ai beaucoup trop de dignité pour le souligner. Restent quelques groupes ici et là, vestiges d’un temps où nous partagions la même attirance pour une musique complexe et décalée, avant que les chants [...]