#Inside Out

Leprous – Pitfalls

Retour attendu de nos chouchous norvégiens de Leprous avec ce nouvel album Pitfalls. Inutile de tenter de conserver un semblant de suspense, vous aurez déjà constaté, grâce au petit personnage en haut à droite, à quel point nous sommes complètement sous le charme de ce nouvel album. Immédiatement en terrain connu dès le démarrage de l’album, on remarque rapidement que quelque chose a néanmoins changé chez Leprous et dès « I Lose Hope », on mesurera à quel point le groupe a choisi de mettre les guitares en retrait, faisant de ce nouvel album un album d’abord porté par les mélodies [...]

Devin Townsend Project – Transcendence

Ah putain enfin! Enfin un retour de Devin qui réussit à me filer la banane presque comme à la bonne époque. Je regardais récemment le nombre de sorties signées par le canadien depuis ses débuts, et même si je pense avoir écouté tous les albums qu’il a sortis depuis le début (plus ou moins attentivement, tant certains m’ont déçu voire énervé -hein Deconstruction ?) j’étais quand même particulièrement impressionné de voir que ce Transcendence n’est rien de moins que le 17ème album du canadien, sans compter les albums sortis avec Strapping Young Lad. On dépasse donc allègrement la vingtaine [...]

Steve Hackett – Wolflight

Ah ah ah. Ben oui, quoi. Monsieur Hackett? C’est quoi cette pochette dites-moi? Déjà que votre look très « daté » vous donne un air « retour vers le futur », vous auriez peut-être du éviter de renforcer le kitsch, avec les loups et cet affreux montage photoshop digne d’un étudiant en première année d’infographie… Pour couronner le tout, vos clips en remettent de sérieuses louches que ce soit le morceau-titre ou « Love Song to a Vampire »… Décidément tout ce que vous touchez semble se transformer visuellement en grosse tartine kitsch!

Jolly – The Audio Guide to Happiness (part I et II)

Jolly est un groupe new-yorkais qui, ça vous a peut-être échappé, a sorti l’année dernière le deuxième volet de son Audio Guide to Happiness, un double album donc (dont le premier volet date de 2011), au concept un poil fumeux puisque le groupe met en avant le son « binaural » utilisé sur l’album, qui serait paraît-il un artefact sonore permettant de produire une fois perçu par le cerveau, un état de bonheur chez les sujets exposés à cette technique sonore.