#punk

Dead Kennedys – Fresh Fruit for Rotting Vegetables


Dead Kennedys über die welt
1980 est et restera à tout jamais une date essentielle dans le monde du punk. Les Dead Kennedys gravent leur premier opus dans une Amérique en plein chambardement, et viennent poser ici une pierre supplémentaire à l’édifice contestataire des artistes d’Outre-Atlantique.

Palm – My Darkest Friends

De l’artwork à la musique pratiquée, Palm (et non Palms, absolument rien à voir avec le nouveau groupe de Chino Moreno/Isis) semble vouloir viser un type de public particulier: l’amateur de groupes estampillés Deathwish Inc. Il faut avouer qu’il y a vraiment de quoi susciter son intérêt chez ce groupe japonais, entre l’artwork signé Jacob Bannon et le mixage confié à Alan Douches (qui s’occupe notamment de… Converge !). Bref, on ne sera donc pas étonné de retrouver un peu de Converge dans leur musique.

Passiv Dödshjälp – Kollektiva Mönster

Fer de lance de la scène crust à la suédoise actuelle, Passiv Dödshjälp est un groupe qui ne chôme pas puisque ce Kollektiva Mönster est leur sixième sortie en l’espace de quatre ans d’existence (leur troisième album long-format plus précisément, le reste étant EPs et splits). Une impressionnante productivité n’atteignant pourtant pas la qualité de leurs sorties… pour l’instant ?

Quartier Rouge – Nouvelle Vague

Après Les Années Lumières, carte de visite hardcore noisy-punk furibarde à l’identité déjà très marquée, les parisiens du Quartier Rouge nous reviennent avec une nouvelle galette nommée Nouvelle Vague. Un titre prémonitoire appelant à une révolution dans leur son ? Peut-être bien…

Genöcide – Down to Kill

Horror Rec nous a habitués aux petites sorties qui créent de l’intérêt. Un EP de Denial of God bien sympathique, le Cursed Concert de Death SS qui mettait à l’aise, le suivi d’ Abysmal Grief histoire de rester dans le caveau, allumer les cierges et sortir l’encens. De la release bien consistante au ton bien lardé, servie dans un packaging tout ce qu’il y a de satisfaisant, le petit bonheur en somme. Des disques qui montraient qu’Horror Rec avait des intentions plus que louables.
Mais ce qui nous intéresse ici c’est leur idée d’avoir remis au goût du jour [...]