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Bilan 2007 darkantisthene

Pfffiou pas facile cette année de dégager 10 albums incontournables. Non pas parce que les candidats manquaient à l’appel mais bien plutôt parce qu’ils se bousculaient au portillon. J’ai tranché à un instant « t » mais si l’on m’avait reposé la question à « t + n » j’aurais probablement donné une autre réponse. Vous pourrez bien sûr penser que c’est un peu le cas chaque année mais – en professionnel non rémunéré que je suis – j’ai vérifié que mon bilan 2006 ne démarrait pas de la même manière histoire de ne pas me faire piéger à [...]

Swallow The Sun – Hope

Drôle de titre tout de même pour un groupe dont la discographie « exemplaire » n’a eu de cesse de faire émerger un sentiment d’accablement chez l’auditeur. 3ème album pour ces surdoués du doom mélancolique et le plus difficilement abordable pour moi. Plus alambiqué ? Plus sophistiqué ? Même pas. Plus… comment dire, plus monotone lors des premières écoutes. J’ai donc dû m’investir plus et n’ai pas pu me reposer sur les lauriers que je leur avais posés sur la tête depuis la découverte de The morning never came. Voilà donc une chronique qui aura mis plusieurs semaines pour [...]

Bilan 2005 darkantisthene

L’année des confirmations. Voilà sous quel angle j’aborderais peut-être un éventuel bilan de l’année s’il m’était proposé de le faire. Oh mais qu’apprends-je ? Monsieur Eklektik m’offre justement cette possibilité, c’est merveilleux ! Mes bonnes résolutions sont exaucées avant même que je les ai formulées !
Confirmation sous forme d’enfonçage – définitif – de clous pour les groupes déjà bien affirmés que sont Porcupine Tree ou Paradise Lost (oui bon en fait il s’agit plus de la confirmation de leur capacité à sortir de bons albums après plusieurs années de carrière, fallait trouver un gimmick et inévitablement il ne fonctionne pas pour [...]

Swallow The Sun – Ghosts of Loss

A peine terminée la première écoute de leur précédent album The morning never came, je commençais à attendre plus ou moins patiemment le confirmation d’un talent qui m’a rapidement semblé indéniable. C’est chose faite avec l’arrivée de ce deuxième album et autant dire tout de suite que mes espoirs n’ont pas été détrompés. La Finlande est décidément un véritable vivier propice à l’émergence de groupes passés maître dans l’art du doom/death dépressif.
Ce Ghosts of loss m’a tout de même paru moins immédiatement appréciable ; et, si la qualité a été quasi immédiatement perceptible, l’accessibilité à toute la richesse [...]