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Anberlin – Silverline

Alors qu’on les pensait morts et enterrés suite à leur album Lowborn (2014)  ayant été suivi par un concert d’adieu quelques mois plus tard, Anberlin a fait un inattendu retour, d’abord en 2018 pour un concert de réunion avant de décider de vraiment s’y remettre un an plus tard. Le groupe floridien célèbre aujourd’hui ses vingt ans d’existence avec ce Silverline, nouvel EP sonnant presque comme si leurs huit ans de silence n’avaient pas eu lieu.

Fairweather – Deluge

Fairweather est de ces groupes hautement respectés Outre-Atlantique mais qui n’ont pas vraiment eu la même exposition en Europe. Fidèle à Equal Vision Records (Bitter Branches, Grayhaven, Silent Drive…) depuis son premier opus en 1999, le groupe de Virginie a pourtant connu huit ans de hiatus entre 2003 et 2011, revenant trois ans plus tard avec un album éponyme (Fairweather – 2014). Après une nouvelle pause conséquente, le sextet fait son retour avec cet EP nommé Deluge.

The Machinist – All Is Not Well

Tout ne va pas bien, c’est un simple constat que chacun peut faire en consultant les dernières infos nationales ou internationales. Pour son second album (après Confidimus In Morte – 2019), The Machinist a donc allumé sa télé quelques minutes pour s’inspirer de toutes les infos qu’on y traite parmi les plus révoltantes (la brutalité policière, l’intolérance, l’écologie et toutes les crises traversées plus ou moins récemment) et les renvoie aux auditeurs avec colère.

Greg Puciato – Mirrorcell

Depuis que The Dillinger Escape Plan n’est plus, Greg Puciato participe à des projets tels que Spylacopa, Killer Be Killed ou encore The Black Queen, ouvrant ses envies artistiques à d’autres courants que le mathcore. Pour son second album sous son propre patronyme (après Child Soldier: Creator Of God, sorti en 2020), le prolifique vocaliste y met tout ce qu’il possède, ses mélodies vocales immédiatement reconnaissables et quelques hurlements/modulations vocales comme à la bonne époque.

Mint Green – All Girls Go To Heaven

Jeune formation issue de la prolifique scène bostonienne, Mint Green interpelle en premier lieu par son intrigante cover, le groupe y apparaissant à l’intérieur d’une sorte de tableau un peu arty. On était en droit d’avoir quelques doutes quant au contenu de All Girls Go To Heaven, leur premier album. Or l’adage « on ne juge pas un livre à sa couverture » peut ici très bien être utilisé car la musique du groupe allie (presque paradoxalement) simplicité et émotions.

Moodring – Stargazer

Après un intéressant Showmetherealyou qui leur a permis d’intégrer le roster d’UNFD (Stray From The Path, Ocean Grove, Erra…), Moodring revient avec un premier long-format, l’occasion d’étendre un peu plus ses influences de la scène alternative des 90’s/débuts 00’s. Stargazer explore des thématiques allant de pair avec la teinte générale mélancolique délivrée par le groupe, de la douleur, du désespoir mais quelques passages apparaissant plus positifs, voire plus violents.

Glacier Veins – Lunar Reflection

Originaire de Portland, Glacier Veins est un quartet actif depuis 2015 mais qui aura attendu 2020 pour sortir un premier long-format (The World You Want To See). Lunar Reflection prend donc sa suite deux ans plus tard.

Weatherstate – Never Better

Jeune formation anglaise (de Weymouth plus précisément), Weatherstate est de ces groupes qui auraient voulu performer dans les années 90 quand MTV ou quelques radios diffusaient encore un peu de rock (grand public). Reprenant tout l’attirail de cette scène pop-punk/grunge d’alors, le groupe sonne donc très familier pour qui est nostalgique de cette époque insouciante.

Violence – Area Sub Rosa

Avec leur son à la croisée du crust et du blackened hardcore cathartique (matérialisé dans leur très bon dernier album en date The Coldest Place Is Within Myself – 2018), les danois de Woes ont apparemment décidé de calmer leurs ardeurs. On retrouve chez Violence leurs membres dont les envies semblent aujourd’hui d’aller dans des émotions diamétralement opposées.

Mary Cream – Pulse

Pulse est la première offrande de Mary Cream, projet solo d’un certain Gabriel Apostolidis (grec vu son nom ou franco-grec puisque basé à Paris) qui entend faire cohabiter des influences plutôt variées entre metal, post-punk ou encore electro. Présenté ainsi, le mélange peut sembler un peu casse-gueule mais il apparaît totalement maîtrisé par sa tête pensante.