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Metric – Formentera

Vous l’avez peut-être lu, mais si j’ai toujours eu une certaine sympathie (« Gimme Sympathy »!) pour les canadiens de Metric, c’est vraiment the Art of Doubt, leur album sorti en 2018 qui les a consacrés « groupe de cœur » pour moi. Un album que je continue à faire tourner régulièrement et que je trouve vraiment superbe de la première à la dernière note.
J’avais donc de trèèèèèès fortes attentes pour cette nouvelle cuvée 2022 parée déjà d’une bien plus jolie pochette que son aînée : Formentera (référence à l’île des Baléares du même nom ?). Et comme dirait l’autre « j’aime quand [...]

Greg Puciato – Mirrorcell

Depuis que The Dillinger Escape Plan n’est plus, Greg Puciato participe à des projets tels que Spylacopa, Killer Be Killed ou encore The Black Queen, ouvrant ses envies artistiques à d’autres courants que le mathcore. Pour son second album sous son propre patronyme (après Child Soldier: Creator Of God, sorti en 2020), le prolifique vocaliste y met tout ce qu’il possède, ses mélodies vocales immédiatement reconnaissables et quelques hurlements/modulations vocales comme à la bonne époque.

Luminous Vault – Animate The Emptiness

Hasard du calendrier, Profound Lore aura sorti à deux semaines d’intervalle le premier album de Luminous Vault (que voici) et le troisième album d’Artificial Brain (dont je vous toucherai certainement un mot d’ici peu). Point commun entre ces deux groupes outre leur label ? La présence de l’infatigable Samuel Smith, évoluant tantôt à la guitare, tantôt au chant, qui est d’ailleurs aussi présent chez Aeviterne et Fawn Limbs. Chez Luminous Vault, c’est à la basse et au chant qu’on le retrouve, accompagné d’un certain Mario Diaz de Leon (Oneirogen, Bloodmist) qui se charge de tout le reste (et aussi [...]

Ruinas – Resurrekzión

Après un Ikonoklasta bien secoué sorti il y a déjà deux ans, Ruinas revient dans le grind game avec Resurrekzión, nouvel EP de six titres. Le duo Rober Bustabad (Machetazo, chant et instruments)/Angel (batterie) n’a pas dit son dernier mot en matière de déblaiement auditif !

Cremation Lily – Dreams Drenched In Static

Cremation Lily, c’est le projet d’un certain Zen Zsigo, mec pas si zen que ça puisqu’il dort très peu et souffre apparemment de dépression. Mais derrière l’aspect négatif de cette info se cache une créativité et surtout une incroyable productivité (comme l’attestent les très nombreuses sorties qu’on peut trouver sur son Bandcamp, ainsi que sa participation à de nombreux collectifs comme BLACKCLOUDSUMMONER par exemple) du gaillard. Pour Dreams Drenched In Static, il quitte même l’autoproduction en signant chez The Flenser, label réputé notamment pour avoir Have A Nice Life ou Planning For Burial dans son roster.

Void Of Vision – Chronicles II: Heaven

Quelques mois le premier volume Lust, Void Of Vision débarque avec sa suite. Un Chronicles II: Heaven qui nous propose non pas quatre mais cette fois cinq titres tout en proposant un metalcore teinté de djent et d’electro bien dans la lignée de l’EP précédent.

Déhà – Décadanse

Pour celles et ceux qui ne le connaîtraient pas (encore), Déhà est un multi-instrumentiste belge à la tête de très nombreux projets solo et participant aussi à des groupes internationaux tels que Maladie, Cult Of Erinyes, Wolvennest, Slow ou encore We All Die (Laughing). Une profusion de projets pour un spectre musical très ouvert, où les influences metal extrême (au sens large du terme) côtoient parfois des influences plus étonnantes allant du classique à l’electro. Ultra prolifique pour son projet personnel (avec énormément de sorties entre 2020 et 2021, le covid l’ayant sûrement beaucoup inspiré), voici Décadanse, album de [...]

Tempers – New Meaning

Si l’envie vous prenait d’aller faire un tour à pied la nuit, voici la bande sonore qu’il vous faut ! Pour son quatrième album, le duo Jasmine Golestaneh (chant)/Eddie Cooper (synthés) nous convie à une déambulation nocturne sur fond d’une synthpop typée 80’s, au jeu sur les échos rendant ce New Meaning tellement obsédant.

Bloodywood – Rakshak

A l’instar de The Hu et de leur rock/metal aux influences traditionnelles tibétaines, voici la nouvelle sensation de « world metal », provenant d’Inde cette fois. Bloodywood (le jeu de mots est sympa, avouons-le, le groupe a d’ailleurs débuté en tant que groupe parodique reprenant des titres de pop) vient donc du pays des mille et une nuits et entend mixer des éléments venus de leur traditions locales avec un metal moderne boosté aux hormones et plein d’énergie.

Modern Error – Victim Of A Modern Age

Modern Error, c’est le projet de Zak et Kel Pinchin, duo de vrais frères jumeaux fusionnels dans leur vie perso comme en musique. Victim Of A Modern Age, leur premier album, repose sur une écriture très riche, entre inspirations philosophiques et cinématographiques, tout en ayant une fiche promo un brin pompeuse décrivant leur concept à la manière du commentaire composé que tu écrivais au lycée (« C’est une vérité universellement reconnue: la vie est une question d’équilibre. La dualité de la lumière et de l’ombre; l’intérieur et l’extérieur; le social et le personnel. Thèse, antithèse et éventuellement synthèse », heu okay…).