Latest Content

Venice Bliss – Shame

Venice Bliss est un groupe parisien composé de membres expérimentés provenant de formations tells que Computers Kill People, Fleur Du Mal, The Funeral Warehouse ou Opium Dream Estate. Pour son second album, le quartet s’est adjoint les services d’Etienne Sarthou (Karras, Deliverance…) à la production tandis que le mastering est signé Magnus Lindberg (Cult Of Luna). Avec un tel background à la technique, ce Shame devrait donc sonner massif et métallique…?

Pamplemousse – Think Of It

Derrière son nom acidulé, Pamplemousse renferme un groupe établi à la Réunion et déjà auteur de deux albums avant ce Think Of It (Pamplemousse en 2017 et High Strung en 2019). Passé de trio à duo guitare/batterie, le groupe vient démontrer ici qu’il n’a rien perdu de sa capacité à envoyer le bois !

Bazooka – Kapou Allou

Avec un tel nom, on aurait pu s’attendre à d’énormes déflagrations et un joli champ de bataille bien ravagé avec Bazooka, or ce quintet grec (de Volos) préfère rester plus cool. Ici, c’est l’abrasion du punk/rock garage qui se voit accompagné (avec parcimonie) de touches psychédéliques. Faisant suite à leur premier opus Zero Hits (2019), Kapou Allou (pas les anciens joueurs de foot, ça veut dire « Quelque part ailleurs ») propose dix titres de rock plutôt énergiques qui ont la particularité d’être tous chanté dans leur langue natale.

Blackbird Hill – Embers In The Dark

Duo bordelais composé de Théo Jude (batterie) et de Maxime Conan (guitare), assurant tous deux le chant, Blackbird Hill n’a pas trop eu le temps de défendre son album précédent Razzle Dazzle, ce dernier étant sorti début 2020 alors qu’une certaine pandémie démarrait… C’est donc avec un esprit revanchard que les deux compères font leur retour avec Embers In The Dark.

Sons – Sweet Boy

Ces Fils-là sont belges, provenant de Flandres (au Nord de la Belgique, pas loin d’Anvers) et ont peut-être déjà été sous votre radar avec leur premier album Family Dinner (2019). Si ce n’est pas le cas, vous pourrez le tester après ce Sweet Boy et juger de l’évolution entre les deux opus. En ce qui concerne la production de ce dernier, sa conception a été un peu complexe: façonné durant la pandémie, produit à distance avec le producteur australien Michael Badger-Taweel, ce nouvel album façon « télétravail » bénéficie d’un son garage abrasif allant de pair avec l’énergie déployée par Sons.

Tendinite – Neither/Nor

Après deux EP bien agréables, voici que Tendinite se ramène enfin avec un véritable premier album histoire de ne plus nous laisser sur notre faim (comme je le déplorais sur ma chronique de Back In The Storm). Sur ce Neither/Nor, le trio rémois explore à nouveau les multiples facettes du garage rock, entre tradition old school, tendances psychés, noise ou encore punk, et incorpore tout ça toujours dans une énergie très contagieuse.