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Squint – Big Hand

Pas le temps de niaiser avec Squint ! Le groupe de St-Louis (Missouri) n’a en effet pas le temps, ayant rapidement sorti deux EPs en 2022 que le groupe a décidé de compiler en 2023 avant de sortir deux autres singles avant ce Big Hand (considéré comme leur premier véritable album). Bref, une belle productivité pour ce jeune groupe et une fraicheur qui transparait instantanément dans son hardcore mélodique.

Drug Church – Prude

Seulement deux ans après l’excellent Hygiene, Drug Church fait déjà son comeback avec une inspiration toujours au beau fixe. Prude est le quatrième album de la bande à Patrick Kindlon, charismatique leader du quintet de New-York, qui fait à nouveau parler sa plume pour raconter dix nouvelles histoires parlant pas mal de substances illicites mais avec un sens du sarcasme toujours aussi aiguisé.

Love Letter – Everyone Wants Something Beautiful

Groupe monté par des membres de Defeater entourant le chanteur de Verse (Quinn Murphy), Love Letter débarque avec un second album à l’aura forcément très émotionnelle au vu du pédigrée de ses membres. Everyone Wants Something Beautiful (lyrics contenus dans « Wellness Checks and Dead Friends ») est un album autour de thèmes disons « classiques » pour du hardcore: insécurité et confiance en soi ainsi que l’amitié sont ici abordés.

Omsorg – Echoes

Jeune pousse venue de l’underground danois, Omsorg revient suite à son premier album (Moments, Movements, sorti l’an dernier) avec un nouvel EP aux quatre titres de hardcore alternant entre attaques frontales et mouvements plus émotionnels. Un coup de frais venu du froid ?

The Ghost Inside – Searching For Solace

Après leur accident et la reconstruction ayant suivi (avec un album-catharsis en 2020 en guise de libération suite à leur difficile convalescence), The Ghost Inside revient de très loin. Quatre ans plus tard, le groupe fait son retour armé de ce Searching For Solace venant célébrer ses vingt ans d’existence dédiés a la cause du metalcore mélodique et émotionnel, avec une thématique générale encore essentiellement basée sur la reconstruction du groupe.

Like Wires – Cold Matter

Groupe clermontois ayant débuté ses activités il y a une dizaine d’années avec un prometteur EP en 2015, Like Wires a malheureusement stoppé ses activités peu après. Revenu d’entre les morts avec de nouveaux membres fin 2023, le quartet propose avec ce Cold Matter un nouvel EP explosif d’un hardcore aussi incisif qu’émotionnel.

Koyo – Would You Miss It?

Valeur montante de la scène pop-punk/emo/hardcore mélodique originaire de Long Island, Koyo a été monté par d’anciens SeeYouSpaceCowboy ayant décidé de jouer sur la fibre nostalgique. Would You Miss It? se révèle complètement comme un condensé de tout ce qui fonctionnait dans le(s) genre(s) fin 90’s/début 2000.

Phantom Bay – Underground

Jeune formation allemande (de Brême) étant apparue l’an dernier avec un premier album (éponyme), ce dernier a permis à Phantom Bay de le défendre sur scène, et pas avec n’importe qui ! En effet, le jeune groupe a ainsi pu ouvrir pour Militarie Gun (l’une de leurs influences les plus notables) ou Turnstile, ce qui est assez crédible sur une carte de visite. De retour avec un nouvel EP nommé Underground, Phantom Bay poursuit dans sa version personnelle du hardcore mélodique mais avec une légère évolution.

Trophy Eyes – Suicide And Sunshine

Trophy Eyes a toujours choisi l’entre-deux, proposant depuis ses débuts (il y a dix ans tout pile) une combinaison personnelle de hardcore à tendance mélodique et de pop-punk, un mélange osé (ou casse-gueule) que le groupe australien a su imposer, notamment sur le très bon Chemical Miracle que mon collegue Krakou avait encensé à l’époque de sa sortie. Depuis, un changement de line-up est arrivé durant la confection de ce quatrième album avec le départ du guitariste fondateur Andrew Hallett, suppléé par Josh Campiao (Hellions).

Maridia – Mouth Of Ruin

Jeune formation originaire de Suède, Maridia débarque avec ce Mouth Of Ruin, premier EP autoproduit. Basé entre Stockholm et Umeå, deux villes assez éloignées, le groupe fonctionne donc en « télétravail » mais sans faire ressentir cette distance tant ces débuts sonnent viscéraux.