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MATW – Endless Loop

Originaire de Marseille, MATW (pour Me Against The World) revient quasiment un an après leur Through The Looking Glass, leur ayant permis de se faire connaitre. Le quartet signe avec Endless Loop, un nouvel EP sous le signe du soleil (leur situation géographique aidant sûrement pas mal).

Four Year Strong – analysis paralysis

Quatre ans après le sympathique Brain Pain, les quatre gaillards de Four Year Strong font leur retour avec les mêmes intentions: jouer de la pop punk enjouée tout en calant des riffs métalliques et bardés de gros breakdowns. Une recette inchangée et toujours aussi immédiate en faisant un groupe à part dans cette scène dite « easycore ».

Destroy Boys – Funeral Soundtrack #4

Groupe qui monte parmi la scène punk californienne, Destroy Boys s’est monté en 2015 par Alexia Roditis (chant/guitare) et Violet Mayugba (guitare, backing) alors qu’elles n’avaient que quinze ans à peine. Le groupe complété par un bassiste et un batteur (aujourd’hui David Orozco et Narsai Malik) distille un punk rock aux ouvertures allant du côté du garage rock, du hardcore, du riot grrrl et même des influences goth (le groupe revendiquant notamment des influences du côté de Siouxie And The Banshees ou de Cocteau Twins).

Koyo – Would You Miss It?

Valeur montante de la scène pop-punk/emo/hardcore mélodique originaire de Long Island, Koyo a été monté par d’anciens SeeYouSpaceCowboy ayant décidé de jouer sur la fibre nostalgique. Would You Miss It? se révèle complètement comme un condensé de tout ce qui fonctionnait dans le(s) genre(s) fin 90’s/début 2000.

Movements – RUCKUS!

Troisième album pour les californiens Movements, au nom vous rappelant peut-être une participation au Fixed It All de Paerish. En effet, son chanteur Patrick Miranda apparait sur le titre « You & I » des parisiens, et même si l’approche musicale des deux groupes n’est pas exactement la même, il existe une réelle filiation entre les deux groupes, au point par exemple de sortir leur dernier album le même jour (coïncidence).

Flycatcher – Stunt

Originaire du New Jersey, Flycatcher est un groupe s’étant déjà signalé sur deux albums (Other Things en 2018 et Songs For Strangers l’année suivante) avant de prendre un peu plus de temps avant de sortir ce Stunt. Biberonné au grunge, l’emo et à la pop-punk de la fin des 90’s/début des 2000’s, le quartet propose sur cet EP cinq nouveaux titres aux mélodies particulièrement entêtantes.
Et ça démarre par un excellent « Games » où nostalgie pop à l’ancienne et refrain accrocheur ne font qu’un dans une atmosphère glissant toute seule. « Always Selfish » poursuit dans les mêmes parages, quoique plus énergiques [...]

The Pink Spiders – Freakazoid

Inconnu à mon bataillon, The Pink Spiders est un groupe pourtant expérimenté, sortant avec ce Freakazoid son cinquième album, son premier chez Pure Noise Records (Knocked Loose, Chamber…). Le quartet de Nashville débarque sans prétention avec un album taillé pour la période à laquelle il sort: l’été.

Trophy Eyes – Suicide And Sunshine

Trophy Eyes a toujours choisi l’entre-deux, proposant depuis ses débuts (il y a dix ans tout pile) une combinaison personnelle de hardcore à tendance mélodique et de pop-punk, un mélange osé (ou casse-gueule) que le groupe australien a su imposer, notamment sur le très bon Chemical Miracle que mon collegue Krakou avait encensé à l’époque de sa sortie. Depuis, un changement de line-up est arrivé durant la confection de ce quatrième album avec le départ du guitariste fondateur Andrew Hallett, suppléé par Josh Campiao (Hellions).

Heart Attack Man – Freak Of Nature

L’été est déjà là, synonyme de vacances et d’insouciance (malgré le climat actuel), alors quoi de mieux qu’un album de pop punk ensoleillée pour aller avec cet état d’esprit ? Heart Attack Man, trio de Cleveland (Ohio) débarque avec Freak Of Nature, troisième album parfaitement dans les tons.

Mint Green – All Girls Go To Heaven

Jeune formation issue de la prolifique scène bostonienne, Mint Green interpelle en premier lieu par son intrigante cover, le groupe y apparaissant à l’intérieur d’une sorte de tableau un peu arty. On était en droit d’avoir quelques doutes quant au contenu de All Girls Go To Heaven, leur premier album. Or l’adage « on ne juge pas un livre à sa couverture » peut ici très bien être utilisé car la musique du groupe allie (presque paradoxalement) simplicité et émotions.