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Venus Worship – Relapse

Jeune trio parisien fondé l’année dernière par des membres de Toxxic Queen, Retro Spectrum et Shienn, Venus Worship débarque armé d’un premier EP aux paroles engagées (féminisme et luttes sociales sont notamment leurs thèmes de prédilection). Et même si l’année 2024 est déjà bien entamée, c’est une bonne trentaine d’années en arrière que regarde le groupe, officiant sur ce Relapse derrière diverses influences telles que Nirvana, Sonic Youth ou encore Alice In Chains.

Diplomatic Immunity – No Weather, No Cry, The Desert Don’t Lie

Si la déprime post-vacances d’été vous prend, voici le genre d’album qu’il vous faut pour retrouver la pêche ! Le trio danois Diplomatic Immunity sait en effet y faire en matière d’énergie. Combinant des influences outre-Manche et outre-Atlantique, le rock du groupe d’Aarhus ne cherche aucune prise de tête ni complication, simplement jouer du gros rock, simple et efficace.

The Pink Spiders – Freakazoid

Inconnu à mon bataillon, The Pink Spiders est un groupe pourtant expérimenté, sortant avec ce Freakazoid son cinquième album, son premier chez Pure Noise Records (Knocked Loose, Chamber…). Le quartet de Nashville débarque sans prétention avec un album taillé pour la période à laquelle il sort: l’été.

Grandma’s Ashes – This Too Shall Pass

Trio parisien 100% féminin apparu en 2021 avec l’EP The Fates, Grandma’s Ashes revient sur long-format avec ce This Too Shall Pass, l’occasion de voir (ou plutôt d’entendre) si les promesses affichées il y a deux ans se confirment sur la longueur…

A VOID – Dissociation

Trio franco-britannique (basé à Londres) qui n’en est pas à son coup d’essai (ayant sorti un EP – Roses As Insides en 2016 puis un premier long-format Awkward And Devastated deux ans plus tard), A VOID fait partie de cette jeune génération de groupes qui auraient bien voulu naître à Seattle au tout début des 90’s. Vous l’aurez deviné, c’est bien le grunge qui obtient là sa revisite, et avec un sens de l’accroche très affuté !

Ocean Grove – Up In The Air Forever

Deux ans après le nostalgique Flip Phone Fantasy et sa plongée en plein néo metal des plus efficaces, Ocean Grove fait son retour avec un line-up encore un peu modifié, passant cette fois de quartet à trio. Ainsi renouvelé, le groupe australien conserve la base de leur propos: du fun et des tubes immédiats !

Downward – The Brass Tax

Repéré il y a cinq ans avec un premier long-format éponyme, Downward est un quartet de l’Oklahoma fan de Hum, tirant d’ailleurs son patronyme de lyrics du groupe de shoegaze étant revenu il y a quasiment deux ans avec Inlet. Et si Hum est pour Downward une influence évidente, on ne doit pas les restreindre à une simple copie.

Modern Error – Victim Of A Modern Age

Modern Error, c’est le projet de Zak et Kel Pinchin, duo de vrais frères jumeaux fusionnels dans leur vie perso comme en musique. Victim Of A Modern Age, leur premier album, repose sur une écriture très riche, entre inspirations philosophiques et cinématographiques, tout en ayant une fiche promo un brin pompeuse décrivant leur concept à la manière du commentaire composé que tu écrivais au lycée (« C’est une vérité universellement reconnue: la vie est une question d’équilibre. La dualité de la lumière et de l’ombre; l’intérieur et l’extérieur; le social et le personnel. Thèse, antithèse et éventuellement synthèse », heu okay…).

Don Broco – Amazing Things

Technology fut un de mes coups de cœur de l’année 2018, ce nouvel album des anglais de Don Broco au titre prometteur était donc fort logiquement l’un de ceux que j’attendais le plus cette année. Pas de changement majeur dans le style du groupe et tant mieux, on retrouve avec plaisir le style de rock alternatif lorgnant sans complexe aucun vers la pop, mélodique en diable, grâce notamment à l’atout numéro un du groupe, à savoir son chanteur Rob Damiani. Don Broco poursuit aussi son évolution entamée avec Technology vers une musique plus musclée, davantage portée par les guitares, [...]

Superbloom – Pollen

Le revival grunge n’en finit pas de faire des petits ! Originaire de Brooklyn, voici Superbloom qui a débuté ses activités tout récemment mais n’aurait pas dépareillé dans le décor d’un Seattle en 1994. « 1994 », c’est d’ailleurs le titre d’ouverture de ce Pollen et ce n’est pas un hasard, tout est mis en place pour une dose de nostalgie pleine de plans familiers comme à l’époque de l’explosion du style.
Chemise à carreaux et jeans troués sont de rigueur. En effet, de très nombreuses mélodies nous emmèneront (inévitablement) du côté de Nirvana (les mélodies de « Spill » ou « Whatever », sonnant [...]