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Wizard Must Die – L’Or Des Fous

Trio lyonnais s’étant illustré il y a six ans avec son In The Land Of The Dead Turtles, Wizard Must Die revient après un changement de line-up, le batteur Christophe Hogommat (avec qui le groupe est resté en bons termes puisqu’il a enregistré et mixé ce nouvel album) a été remplacé par Robin Aillaud qui a plus d’une corde à son arc car il se charge aussi des synthés et du « programming ». Un changement de line-up et un ajout de nouvelles sonorités permettant à Wizard Must Die de faire évoluer son approche sur L’Or Des Fous.

Slomosa – Tundra Rock

Pour qui a eu la chance d’aller cette année au festival Rock In Bourlon, le nom de Slomosa devrait immédiatement parler. En effet, le groupe norvégien a remplacé au pied levé Nebula, absent de dernière minute. De cette annonce de dernière minute a suivi une accumulation de malchances avec un avion manqué suivi par de long embouteillages sur les routes belges, mais ils l’ont fait et avaient alors obtenu un accueil très chaleureux. Chaleureux à l’image de leur musique…

Witch Ripper – The Flight After The Fall

Originaire de Seattle, Witch Ripper est un quartet annonçant jouer du « melodic sludge », une étiquette peu évidente (vous l’admettrez) et qui ne présage pas vraiment de ce que l’on peut attendre sur ce second album (le premier Homestead datant de 2018). Pourtant, The Flight After The Fall fait beaucoup plus qu’ajouter de la mélodie banale sur des riffs grassouillets, il déploie une grande variété de facettes, des détours et des surprises tout au long de ces cinq (gros) morceaux.

Mudweiser – The Call

Après quatre ans de silence studio, Mudweiser fait son retour. Un retour aux sources même puisque The Call signe le retour de Saïd Merki (guitare) après quelques années d’absence. L’occasion pour la bande à Reuno (pourtant toujours très occupé par les incessantes tournées de Lofofora) de revenir à leurs fondamentaux: du stoner aux accents parfois bluesy, parfois plus heavy, encore un bien bon moment de rock’n roll !

Computers Kill People – Destruction Derby

Quartet parisien officiant dans un gros rock allant du côté stoner de la force, Computers Kill People est actif depuis dix ans et marque avec cet EP un changement de line-up: Karin étant arrivée au poste de bassiste à la place de Tony (les sessions d’enregistrement ayant été faites avant ce changement de poste, on ne retrouvera la nouvelle arrivée que sur un titre).

Rama – Everything Is One

Jeune groupe turinois, Rama donne enfin une suite à son prometteur EP sorti en 2015. Everything Is One est un premier album affilié stoner/desert rock sauf que les italiens y ajoutent de nombreuses surprises, rendant chaque écoute plus excitante que la précédente.

ÖfÖ Am – Tales From Outerspace: An Octaman’s Oddyssey

ÖfÖ Am est un groupe montpelliérain actif depuis 2007, jouant une musique instrumentale aux confluents du stoner et du heavy rock à l’ancienne. Le trio s’est surtout signalé en 2010 en s’offrant un split avec les excellents Karma To Burn suivi d’un premier album l’année suivante (The Beast Within). Ce Tales From Outerspace: An Octaman’s Oddyssey met donc fin à quatre ans de silence (suite à leur split avec leurs collègues de Lahius) durant lesquels est intervenu un changement de line-up avec l’arrivée à la basse de Géraud Jonquet (batteur de Verdun, on retrouvera d’ailleurs son guitariste, Mathieu Croux, [...]

The Texas Chainsaw Dust Lovers – Film Noir

Un peu plus de trois ans après ma découverte de The Texas Chainsaw Dust Lovers par l’intermédiaire de leur sympathique EP  The Wolf Is Rising (2014), j’ai quelque peu perdu de vue le quartet parisien qui a pourtant sorti en 2016 un premier long-format (dont je n’ai pas eu connaissance) intitulé Me And The Devil. A peine un an plus tard, revoici le groupe armé d’un second album dont le titre, Film Noir, ne ment pas, cet album aurait bien pu servir de bande originale à un film du genre, ou plutôt à celle d’un western car l’atmosphère semble toujours située [...]

Elder – Reflections Of A Floating World

Pour les amateurs de Lore (2015) dont je fais partie, voir qu’Elder livrait un nouvel album cette année a été une très bonne nouvelle, même s’il demeurait toutefois une légère méfiance: le quartet de Boston est-il capable de faire mieux que ce fabuleux album ? La réponse est un grand oui, et même que ce Reflections Of A Floating World enterre carrément son prédécesseur !