metal/hardcore

Sofy Major – Idolize

Deux ans après un convaincant Permission to Engage, suivi par un split avec Membrane tout aussi puissant, les clermontois de Sofy Major reviennent aux affaires pour un second album.

Locktender – Kafka

« Un aphorisme est une pensée qui autorise et provoque d’autres pensées, qui fraye un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions ». Locktender, jeune groupe qui monte ayant participé à moult splits (avec Cassilis, Brighter Arrows ou encore l’an dernier au 4-way split avec Coma Regalia, Oaken et Wounded Knee), a décidé d’axer le propos de son premier album sur Les aphorismes de Zürau de Franz Kafka (dont on célèbre par ailleurs l’anniversaire ces jours-ci), écrits pendant l’hiver 1917-1918 et publiés à titre posthume en 1931.

Heartless – Certain Death

Un peu moins de deux ans après le percutant Hell is Other People, Heartless remet le couvert avec un nouveau 7″. Le groupe de Pittsburg ne s’est pas calmé entretemps, loin de là !

Eibon – II

Trois ans après Entering Darkness, chroniqué en ces pages par mon collègue Krakoukass, revoici les parisiens d’Eibon avec un second album sous le bras. Ce dernier, sobrement appelé II, n’est étonnamment composé que de deux morceaux. Avant de hurler à la fumisterie, il est opportun de jeter un œil à la durée desdits morceaux, et là ça annonce du costaud puisqu’ils font respectivement 19 et 24 minutes !

400 The Cat – Stf Helix Nebula

Composé de gens de Morgue et Superstatic Revolution, les alésiens de 400 The Cat ne sont pas des nouveaux venus dans le microcosme noise hardcore sudiste. Formé en 2009, le groupe a notamment sorti un split en compagnie d’une autre valeur sûre du noise hexagonal, The Royal McBee Corporation, et passe aujourd’hui au long format avec ce Stf Helix Nebula.

Old Wounds – From Where We Came is Where We’ll Rest

Après avoir sorti de nombreux EP et splits, Old Wounds passe au long format. Enfin long, ça dure moins de 30 minutes quand même, assez de temps pour balancer 12 titres in your face d’un hardcore fortement marqué par la scène des 90’s.

Rorcal – Vilagvege

S’il reste des survivants à l’abyssal Heliogabalus, la précédente offrande du groupe qui n’est constituée que d’une unique piste de 70 minutes de doom suffocant, ceux-ci peuvent se réjouir du retour du Rorcal. Les suisses sont en effet sortis de leur gouffre pour mieux y retourner, cette fois avec un peu de feu directement importé des enfers…

Benea Reach – Possession

Mais c’est qu’ils prennent leur temps les norvégiens de Benea Reach ! Déjà cinq ans que leur dernier album est sorti, c’est dire si l’attente pour ce Possession a été longue ! Monument Binothean et Alleviat ayant été de belles claques pour ma part, c’est donc plein de confiance que je me suis lancé dans l’écoute de ce troisième album.

The Ocean – Pelagial

Il a finalement fallu l’accepter. Difficile au début venant d’un groupe qu’on aime autant que The Ocean, mais c’était ça ou renoncer définitivement à suivre le groupe – ce qui était d’ailleurs une option tout à fait envisageable, qui se profilait de plus en plus me concernant.

Amber – Lovesaken

Auteurs l’an dernier d’une prometteuse démo éponyme (toujours écoutable et téléchargeable gratuitement sur bandcamp), les jeunes allemands Amber reviennent avec un premier full-length tout aussi inspiré.