#Court-métrage

Monde de gloire

Dés les premiers instants, le ton est donné – couleurs ternes ; silences prolongés ; scènes longilignes – engendrant des séquences sans vie parfois insoutenables. En effet, dés l’ouverture Monde de gloire nous plonge dans un univers cruel et sordide qui semble largement s’inspirer de l’âge d’or du cinéma « expressionniste » allemand (l’image ci-contre par exemple, est une référence évidente au célèbre tableau de Munch.)