#Park Chan-wook

Stoker




Stoker, un hommage à Hitchcock ? On peut l’affirmer sans conteste, même si la manière de filmer et de traiter une intrigue policière est radicalement différente entre le pygmalion du film à suspense et son élève sud-coréen.
On pourra notamment apprécier les différents clins d’œil qui nous rappellent à l’œuvre du maître : la scène de la douche (Psycho), les champs de maïs (La mort aux trousses.) La référence la plus soutenue étant bien évidemment celle faite au film de 1943 : L’ombre d’un doute.

Thirst de Park Chan-wook

Sang-hyeon, prêtre coréen désespéré de sauver des vies et de ne pas juste prier pour leur salut dans l’autre-monde, rejoint un centre de recherche africain sur le virus Emmanuelle. Similaire au virus Ebola dans ses effets, le virus Emmanuelle est meurtrier et ne laisse aucune chance de survie à ceux qui en sont infectés. Des 500 personnes infectés volontairement par le virus, Sang-hyeon sera pourtant le seul survivant après avoir été transfusé d’une dose de sang d’origine d’inconnu. A l’insu du personnel médicale et de lui-même, à son retour en Corée, il se transforme progressivement en vampire et le [...]