The Temperance Movement – White bear
N’étant pas vraiment tombé de ma chaise à l’époque de la sortie de leur premier album (The temperance movement, 2013, qui avait quand même secoué quelques valseuses dans les milieux avertis du rock), je n’étais franchement pas dans les starting blocks pour l’accueil de ce White bear. Mais j’ai trouvé la pochette très sympa, j’avais un peu de temps et, approchant la quarantaine, je me suis dit qu’il fallait de temps en temps se dégourdir les mollets au rythme du blues rock.