The Dresden Dolls – No, Virginia
J’ouvre les yeux sur la lumière apaisante du matin. Un soleil voilé déverse par la fenêtre ses timides rayons. La quiétude m’envahit alors que j’émerge d’un sommeil lourd, sans rêve. Et je souris intérieurement, parce qu’il est parfois délicieux de s’éveiller. J’éprouve soudainement l’envie d’aller marcher, sans but particulier, juste pour goûter la fraîcheur de l’air. Je m’habille rapidement et je sors. Je me sens bien, un peu comme lorsque que l’on se prépare à retrouver de bons vieux amis. Ces amis dont la compagnie nous est agréable, presque euphorisante. Il y a un je-ne-sais-quoi de festif dans l’atmosphère…