Ars Moriendi – L’Oppression du Rien
Qui s’appelle Ars quelque chose prend un risque. On peut attendre des directions, voire des fulgurances. On ne fait pas de l’art, fût-il de la mort, sans montrer son âme à tout le monde. Heureusement Bastien, one-man man derrière ce projet montferrandais, n’a pas la confidence farouche. On peut même dire qu’en matière d’indices sur ses appétences musicales, ça dégorge. Sherlock Holmes en serait insulté.
Dans la continuité de ses démos et albums précédents, Ars Moriendi conserve comme aire d’ancrage une base black/doom, ce qui lui vaudra peut-être d’être assimilé à la scène black/doom. La façon dont les vocaux [...]