Fer de lance du beatdown hardcore européen, Nasty a fait en sorte en onze ans d’existence et quatre albums (Love (2013) étant le dernier en date) de montrer une véritable envie de s’affranchir d’un style dont il véhicule pourtant les clichés. Avec Shokka, les « belgeo-teutons » passent même à un niveau supérieur.
Une bonne vieille production Good Life Recordings, comme au bon vieux temps, celui ou le H-8000 crew avait la côte et bottait sérieusement les culs de tout les hardcore kids, moi le premier. Dix ans plus tard le label a un peu perdu de sa superbe (que sont devenus Kindred, Culture, Morning Again..?) mais on peut malgré tout lui reconnaitre une chose, c’est d’être toujours présent. Et si je n’ai pas trop suivi les sorties du label de monsieur Edward Good Life ces deux dernières années, je dois néanmoins reconnaitre que la musique de Nasty n’est pas pour me [...]
