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Ingested – The Tide Of Death And Fractured Dreams

Célébrant cette année sa majorité, Ingested fait partie de ces groupes apparus au moment de l’émergence de ces groupes deathcore estampillés « Myspace ». Et si de l’eau a coulé sous les ponts depuis, le groupe britannique devenu trio depuis son dernier album (Ashes Lie Still – 2022) mise désormais sur un mélange des genres ancrés dans la brutalité.

Alpha Wolf – Half Living Things

Nom aperçu régulièrement participant à de nombreuses grosses tournées, Alpha Wolf est petit à petit monté de plus en plus haut sur l’affiche, notamment celle de leur tournée européenne 2023 où ils étaient carrément même headliners (devant King 810 et les frenchies Ten.56). Le groupe australien œuvre depuis quelques années dans le metalcore bien épais et livre avec Half Living Things son troisième album (après Mono en 2017 et A Quiet Place To Die en 2020).

Apogean – Cyberstrictive

Il va sans dire que le Canada est l’eldorado du death technique, les amateurs du genre le savent déjà. Alors voici un petit nouveau à ajouter à vos discothèques, Apogean en jouant une version inspirée des œuvres d’Orwell ou Bradbury. Technique oui, mais aussi très variée, ce qui en fait tout son intérêt…

Hourhouse – Gold Tooth Guru

Oh que oui cette cover peut décourager ! Avouons-le, elle ne m’a pas vraiment incité à lancer l’écoute de ce Gold Tooth Guru, d’autant plus que l’intro « business finissant en fusillade » façon GTA V (« The Sit Down ») en rajoute une couche. Sauf que le premier album de Hourhouse a beaucoup plus à offrir, à condition d’être prêt à enchaîner les grands écarts car le groupe originaire de New Orleans apprécie changer son fusil (à pompe) d’épaule quand ça lui chante.

Monasteries – Ominous

Actif depuis une bonne dizaine d’années, Monasteries est une formation de Manchester officiant dans un deathcore personnel, s’inspirant de multiples genres adjacents allant du progressif au metalcore plus mélodique en passant par des séquences djent/techniques et même quelques ambiances provenant du black metal. Ce serait pas un petit peu le bordel là-dedans ?

Cel Damage – No Volume

Empruntant son nom à un jeu vidéo, Cel Damage est une formation californienne révélée par l’excellent Mathcore Index (AKA la bible du chaos). Ayant sorti pas mal d’EPs et singles durant sa carrière (douze en dix ans, ça c’est du ratio !), le quartet débarque avec un « véritable » premier album sur Silent Pendulum Records (Black Sheep Wall, Meth.), « véritable » entre guillemets car celui-ci dépasse à peine le quart d’heure… pour quatorze titres.

The Zenith Passage – Datalysium

The Zenith Passage fait partie de ces groupes ayant débuté en mode deathcore (Cosmic Dissonance, EP datant de la grande époque Myspace, 2013) pour ensuite muter vers des envies death technique et progressives affirmées sur Solipsist (2016). Perturbé comme tout un chacun par une certaine pandémie, le groupe californien a connu une énorme revue d’effectifs puisqu’il ne reste désormais que Justin McKinney (ex-The Faceless – guitare/backings) comme membre d’origine, les nouveaux venus étant aussi d’anciens The Faceless comme Brandon Giffin à la basse (qui officie aussi en live avec Cynic) et Derek Rydquist (John Frum), complété par le second [...]

Vortex – The Future Remains In Oblivion

Fondé au Québec en 1998, Vortex a été plutôt productif durant sa longue carrière (ayant connu quelques mouvements de line-up) en sortant pas moins de six albums avant The Future Remains In Oblivion. Mélangeant black metal symphonique, death mélodique et deathcore, le quintet de Rimouski semble rechercher l’alliance de la brutalité et de la finesse au sein d’un écrin aussi spectaculaire qu’un bon gros blockbuster.

Veil Of Maya – [m]other

Apparu en plein milieu de la ferveur deathcore du début des années 2000, Veil Of Maya est toujours debout, bien accroché à son style (couplé à du djent) comme à son label, Sumerian Records (oui il existe toujours lui aussi !) pour lequel le groupe signe avec [m]other son sixième album. Ayant connu un changement de vocaliste en 2014, Lukas Magyar est venu apposer sa patte dans le groupe sans pour autant modifier son approche moderne et technique.

Nightmarer – Deformity Adrift

Jusqu’ici trio américano-allemand composé du chanteur John Collett (ex-Success Will Write Apocalypse Across The Sky, ex-Gigan), du batteur Paul Seidel (The Ocean, ex-Burning Skies) et du guitariste Simon Hawemann (ex-War From A Harlots Mouth), Nightmarer a récemment connu du renfort en accueillant à son bord deux nouveaux membres. Le guitare Keith Merrow (Conquering Dystopia) et le bassiste Nicholas McMaster (Krallice, Edenic Past) sont ainsi venus donner encore plus d’impact et de dissonances au death metal ultra sinueux de Deformity Adrift.