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Monasteries – Ominous

Actif depuis une bonne dizaine d’années, Monasteries est une formation de Manchester officiant dans un deathcore personnel, s’inspirant de multiples genres adjacents allant du progressif au metalcore plus mélodique en passant par des séquences djent/techniques et même quelques ambiances provenant du black metal. Ce serait pas un petit peu le bordel là-dedans ?

Cel Damage – No Volume

Empruntant son nom à un jeu vidéo, Cel Damage est une formation californienne révélée par l’excellent Mathcore Index (AKA la bible du chaos). Ayant sorti pas mal d’EPs et singles durant sa carrière (douze en dix ans, ça c’est du ratio !), le quartet débarque avec un « véritable » premier album sur Silent Pendulum Records (Black Sheep Wall, Meth.), « véritable » entre guillemets car celui-ci dépasse à peine le quart d’heure… pour quatorze titres.

The Zenith Passage – Datalysium

The Zenith Passage fait partie de ces groupes ayant débuté en mode deathcore (Cosmic Dissonance, EP datant de la grande époque Myspace, 2013) pour ensuite muter vers des envies death technique et progressives affirmées sur Solipsist (2016). Perturbé comme tout un chacun par une certaine pandémie, le groupe californien a connu une énorme revue d’effectifs puisqu’il ne reste désormais que Justin McKinney (ex-The Faceless – guitare/backings) comme membre d’origine, les nouveaux venus étant aussi d’anciens The Faceless comme Brandon Giffin à la basse (qui officie aussi en live avec Cynic) et Derek Rydquist (John Frum), complété par le second [...]

Vortex – The Future Remains In Oblivion

Fondé au Québec en 1998, Vortex a été plutôt productif durant sa longue carrière (ayant connu quelques mouvements de line-up) en sortant pas moins de six albums avant The Future Remains In Oblivion. Mélangeant black metal symphonique, death mélodique et deathcore, le quintet de Rimouski semble rechercher l’alliance de la brutalité et de la finesse au sein d’un écrin aussi spectaculaire qu’un bon gros blockbuster.

Veil Of Maya – [m]other

Apparu en plein milieu de la ferveur deathcore du début des années 2000, Veil Of Maya est toujours debout, bien accroché à son style (couplé à du djent) comme à son label, Sumerian Records (oui il existe toujours lui aussi !) pour lequel le groupe signe avec [m]other son sixième album. Ayant connu un changement de vocaliste en 2014, Lukas Magyar est venu apposer sa patte dans le groupe sans pour autant modifier son approche moderne et technique.

Nightmarer – Deformity Adrift

Jusqu’ici trio américano-allemand composé du chanteur John Collett (ex-Success Will Write Apocalypse Across The Sky, ex-Gigan), du batteur Paul Seidel (The Ocean, ex-Burning Skies) et du guitariste Simon Hawemann (ex-War From A Harlots Mouth), Nightmarer a récemment connu du renfort en accueillant à son bord deux nouveaux membres. Le guitare Keith Merrow (Conquering Dystopia) et le bassiste Nicholas McMaster (Krallice, Edenic Past) sont ainsi venus donner encore plus d’impact et de dissonances au death metal ultra sinueux de Deformity Adrift.

Kava Hu – Carnivore

Kava Hu, ce sont trois allemands (dont deux frères) qui ont un beau jour décidé de jouer une musique à la fois brutale, technique et uuuultra lourde. Après deux EP (ou un EP en deux parties, Tales From The Dark Side: part I et II, sortis respectivement en 2013 et 2018), le trio revient avec Carnivore, un premier long-format qui ne laissera pas indifférent les fans de breakdowns alliés à un peu de complexité.

Tracheotomy – Dissimulation

Comme dit l’adage: « la mode est un éternel recommencement ». Rien n’est plus vrai aujourd’hui en musique avec par exemple le néo metal qui vit une seconde jeunesse ces derniers temps. Point de néo chez Tracheotomy mais un deathcore des origines qui aurait très bien pu tourner en boucle sur vos players Myspace en 2005.

Our Last Crusade – Death Wins

A la tête d’une riche discographie entamée il y a douze ans déjà, Our Last Crusade fait partie de cette longue lignée de groupes canadiens qui aiment leur metal bien épais. Préférant le groove à la technique de nombre de leurs compatriotes, le groupe de Calgary propose avec ce Death Wins, un nouvel album à la croisée du deathcore, du metalcore progressif et du djent.

[Live-report] Impericon Never Say Die! 2022

Dimanche 20 Novembre 2022 au Futurum (Prague, République tchèque):

Devenu une référence pour les amateurs de metalcore, l’Impericon Never Say Die! faisait son retour après une édition 2021 annulée. Cette sorte de mini-festival lancé par le site de fringues allemand du même nom a réussi cette année a reconduire quelques noms prévus l’an dernier (Spite, Currents, Invent Animate) et en a ajouté quelques autres pour un total de sept groupes (meme célèbre: ça fait un peu beaucoup là non ?!).
Arrivé à l’heure du thé au Futurum (salle pragoise d’une capacité d’environ 500 personnes), c’est à Boundaries que [...]