Honnêtement, pourquoi encore s’acharner ?
Bah oui, j’aime le Heavy-Metal, les grosses cavalcades, les poses et je ne crache jamais sur une certaine pompe.
Bah oui, j’ai adoré et j’écoute encore parfois les deux premiers albums d’HammerFall (et même quelques titres du troisième).
Bah oui, j’ai été jusqu’à les voir en concert et je me souviens d’avoir passé un bon moment.
Bah oui, décider de se pencher sur le cas de ce No Sacrifice, No Victory c’est savoir à l’avance qu’on va certainement tirer sur une ambulance en panne.
Bah oui, il y a beaucoup d’autres groupes à découvrir plutôt que de perdre du temps pour cette chronique.
Alors on va faire bref.
C’est toujours la même rengaine, les chevaliers suédois s’auto-parodient allègrement depuis Renegade. Ils ont perdu toute la fraîcheur qui faisait leur charme. Leurs paroles sont grotesques même au second degré. Les gimmicks qu’ils utilisent sont éculés. La voix de Joacim Cans devient insupportable à la longue. Les soli d’Oscar Dronjak sont aussi ridicules que ses tenues de scène. HammerFall prouve une fois de plus qu’il n’a plus rien à dire.
Bah oui, j’me suis fait avoir encore une fois.
Tout ce que ce foutu marteau me casse, c’est les couilles.
- any means necessary
- life is now
- punish and enslave
- legion
- between two worlds
- hallowed be my name
- something for the ages
- no sacrifice, no victory
- bring the hammer down
- one of a kind
- my sharona (reprise)
le refrain de « Any Means Necesary » m’était resté une semaine dans la tête… faut dire qu’il est sacrément simpliste et niais! par contre de ce groupe j’aime beaucoup le titre « Hearts On Fire », mais alors un album complet, beurk…
Ca doit être le clip de « Hearts on fire » qui t’a botté ;O)-
Sinon, si t’as le courage, le premier album (Glory to the brave) est bien chouette.