LISATYD – Still
Second EP pour LISATYD, groupe parisien découvert par chez nous il y a deux ans. Still propose six nouveaux titres auréolés d’une production plus massive et limpide à la fois… ça ne serait pas là ce qu’on appelle une progression ?
Second EP pour LISATYD, groupe parisien découvert par chez nous il y a deux ans. Still propose six nouveaux titres auréolés d’une production plus massive et limpide à la fois… ça ne serait pas là ce qu’on appelle une progression ?
Avec sa fulgurante ascension née du succès de leur How Flowers Grow (2021), Scowl a marqué la scène hardcore du début des années 2020 par un vent de fraicheur (bien hargneux le vent) au point de terminer au festival Coachella. Un peu à la manière d’un Turnstile avant eux, le groupe mené par Kat Moss (pas la top model anglaise) a amené le hardcore dans le festival grand public et a logiquement eu des envies d’ouvertures, au point de signer sur Dead Oceans, label de Phoebe Bridgers.
//LESS est un trio né en 2021 à Tours ayant une particularité, celle d’être uniquement composé d’une batterie et de deux basses ! Un ensemble pas banal pour mieux appuyer ses riffs forcément noisy. Des riffs énergiques et grassouillets qui servent ici un son typé années 90, aux lyrics introspectifs faits de tourments intérieurs, de frustrations et de doutes.
Le revival shoegaze n’en finit plus de faire des petits ! Apres deux EPs ayant titillé bien des oreilles dont celle de Sharptone Records, voici donc Vital Signs, premier album qui synthétise l’esprit des années 90 tout en y ajoutant des éléments emo, grunge et post-hardcore. Avec ses murs de guitares atmosphériques hérités de My Bloody Valentine, Hum ou encore Ride, le jeune groupe britannique montre qu’il connait ses classiques, se forgeant là un son introspectif nostalgique… mais moderne !
Bermud est le projet solo d’un certain Elliot Aschard ayant décidé de faire cohabiter indie rock, grunge et shoegaze/dreampop dans un même écrin. Oceans On The Moon, son second album (après Chetter Hummin – 2022), propose un son léché, jouant sur les textures au gré des humeurs de son géniteur (désormais accompagné par d’autres musiciens, c’est mieux pour le live).
Trio australien ayant sorti un EP l’an dernier (Necromancy) et un bon paquet de singles, Major Arcana sort enfin un premier album. Influencé autant par la scène locale (notamment des débuts de Silverchair), le groupe mêle à ce son des envies grunge/rock tout en sonnant assez lourd (le son de basse appuyant pas mal).
Le grungegaze a vraiment le vent en poupe ces derniers temps, et bon nombre de labels surfent sur la tendance. Issu du roster majoritairement emo/metalcore de Fearless Records (Movements, The Plot In You, Wage War…), voici donc Chokecherry et son premier EP, trio féminin s’inspirant autant de figures comme Nirvana ou My Bloody Valentine que de Slint ou Cocteau Twins.
Déjà la suite de l’excellentissime Fossil, un album qui aura marqué de son empreinte l’année 2022. Premier constat, le groupe n’a rien perdu de sa singularité concernant les artworks de ses albums, Eerie arborant à nouveau une pochette faite main qui en jette, comme celles des précédents opus. Après l’inquiétant magicien/nécromancien de Turkish Delights, puis le dinosaure de Fossil et le monstre à deux têtes du split avec Clegane, c’est donc cette fois une rencontre du 3ème type qui nous est proposée par les français sur ce 4ème album qui sort sur leur label fraîchement créé, Black Robes (qui était [...]
Après un premier EP en 2022 (Wish You Were Here), Demo Division fait son retour avec ce Sunken Skin, toujours chez les très bons New Morality Zine. Un nouvel EP qui opère une légère mutation sonore.
Venice Bliss est un groupe parisien composé de membres expérimentés provenant de formations tells que Computers Kill People, Fleur Du Mal, The Funeral Warehouse ou Opium Dream Estate. Pour son second album, le quartet s’est adjoint les services d’Etienne Sarthou (Karras, Deliverance…) à la production tandis que le mastering est signé Magnus Lindberg (Cult Of Luna). Avec un tel background à la technique, ce Shame devrait donc sonner massif et métallique…?