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Oversize – Vital Signs

Le revival shoegaze n’en finit plus de faire des petits ! Apres deux EPs ayant titillé bien des oreilles dont celle de Sharptone Records, voici donc Vital Signs, premier album qui synthétise l’esprit des années 90 tout en y ajoutant des éléments emo, grunge et post-hardcore. Avec ses murs de guitares atmosphériques hérités de My Bloody Valentine, Hum ou encore Ride, le jeune groupe britannique montre qu’il connait ses classiques, se forgeant là un son introspectif nostalgique… mais moderne !

Bermud – Oceans On The Moon

Bermud est le projet solo d’un certain Elliot Aschard ayant décidé de faire cohabiter indie rock, grunge et shoegaze/dreampop dans un même écrin. Oceans On The Moon, son second album (après Chetter Hummin – 2022), propose un son léché, jouant sur les textures au gré des humeurs de son géniteur (désormais accompagné par d’autres musiciens, c’est mieux pour le live).

Major Arcana – A Place In The Heavens For You

Trio australien ayant sorti un EP l’an dernier (Necromancy) et un bon paquet de singles, Major Arcana sort enfin un premier album. Influencé autant par la scène locale (notamment des débuts de Silverchair), le groupe mêle à ce son des envies grunge/rock tout en sonnant assez lourd (le son de basse appuyant pas mal).

Chokecherry – Messy Star

Le grungegaze a vraiment le vent en poupe ces derniers temps, et bon nombre de labels surfent sur la tendance. Issu du roster majoritairement emo/metalcore de Fearless Records (Movements, The Plot In You, Wage War…), voici donc Chokecherry et son premier EP, trio féminin s’inspirant autant de figures comme Nirvana ou My Bloody Valentine que de Slint ou Cocteau Twins.

Fátima – Eerie

Déjà la suite de l’excellentissime Fossil, un album qui aura marqué de son empreinte l’année 2022. Premier constat, le groupe n’a rien perdu de sa singularité concernant les artworks de ses albums, Eerie arborant à nouveau une pochette faite main qui en jette, comme celles des précédents opus. Après l’inquiétant magicien/nécromancien de Turkish Delights, puis le dinosaure de Fossil et le monstre à deux têtes du split avec Clegane, c’est donc cette fois une rencontre du 3ème type qui nous est proposée par les français sur ce 4ème album qui sort sur leur label fraîchement créé, Black Robes (qui était [...]

Demo Division – Sunken Skin

Après un premier EP en 2022 (Wish You Were Here), Demo Division fait son retour avec ce Sunken Skin, toujours chez les très bons New Morality Zine. Un nouvel EP qui opère une légère mutation sonore.

Venice Bliss – Shame

Venice Bliss est un groupe parisien composé de membres expérimentés provenant de formations tells que Computers Kill People, Fleur Du Mal, The Funeral Warehouse ou Opium Dream Estate. Pour son second album, le quartet s’est adjoint les services d’Etienne Sarthou (Karras, Deliverance…) à la production tandis que le mastering est signé Magnus Lindberg (Cult Of Luna). Avec un tel background à la technique, ce Shame devrait donc sonner massif et métallique…?

Down To The Wire – Deep In Denial

Regarder dans le rétro pour puiser ses influences est désormais habituel pour de nombreux groupes, mais pour Down To The Wire, le rétro s’avère sacrément large ! Pour son premier album, le quartet parisien s’inspire en effet du grunge des années 90 qu’il mêle à du rock alternatif/néo metal du début des années 2000.

YEAHRS – Spiritual Sickness

Originaire de Berlin mais monté aux trois quarts par des français expatriés, YEAHRS officie depuis quelques années, ayant sorti quelques singles et EPs (le dernier en date Transfer.Transform datant de l’an dernier) avant ce Spiritual Sickness, leur véritable premier album. S’orientant du côté de la shoegaze au sens large du terme, le quartet n’entend pourtant pas se restreindre à une simple resucée de My Bloody Valentine ou de The Jesus And Mary Chain, mais s’en inspire tout en prenant des libertés.

Opinion – Horrible

Opinion, c’est un certain Hugo Carmouze qui, plutôt que de passer du bon temps entre potes pour la soirée du Nouvel An 2023, a préféré s’enfermer dans sa chambre pour enregistrer cet Horrible. Une bien originale manière de passer sa fin d’année qui peut donc s’écouter un peu plus d’un an plus tard. Et si le projet insiste sur le fait de n’avoir utilisé ni ampli, ni effets, le résultat final est très surprenant…