Backyard Babies – People Like People Like People Like Us
Chronique Hard Rock

Backyard Babies – People Like People Like People Like Us

darkantisthene
darkantisthene
Auteur
17 avril 2006
il y a 19 ans
1 commentaire
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Année de sortie
2006
Note

2001, Making enemies is good. Sur la pochette, 4 jeunes branleurs débraillés et tatoués. Une esthétique parfaitement représentative de ce qu’on peut trouver à l’intérieur du cd, à savoir du couillu, du putain de rock’n roll qui tâche. Ça se prend pas la tête, ça va à l’essentiel. 2006, People like people like people like […]

Backyard Babies – People Like People Like People Like Us

2001, Making enemies is good. Sur la pochette, 4 jeunes branleurs débraillés et tatoués. Une esthétique parfaitement représentative de ce qu’on peut trouver à l’intérieur du cd, à savoir du couillu, du putain de rock’n roll qui tâche. Ça se prend pas la tête, ça va à l’essentiel.

2006, People like people like people like us. Sur la pochette, 6 jeunes filles allongées dans l’herbe, bien sous tous rapports, certes fumant avec nonchalance et désinvolture (probablement un pied de nez à l’époque où la photo a été prise) mais l’air tout à fait inoffensif. Là encore une esthétique parfaitement représentative de ce qu’on peut trouver à l’intérieur du cd, à savoir de l’émasculé, du rock n’ roll qui bave légèrement. Ça prendrait presque la tête, ça risque fortement d’aller au fond de l’étagère : bref, il est des fidélités à ses principes qui sortiraient parfois grandies d’un petit coup de canif.
On aurait d’ailleurs pu s’en douter, étant donné que 3 ans auparavant le propos avait déjà été édulcoré avec un Stockholm syndrome en demi-teinte qui mettait en scène un groupe qui « n’avait plus vraiment faim », plus habitué à manger du caviar que de la viande crue. Mais là quand même à ce point, j’avoue être franchement surpris de l’évolution quasi sirupeuse des suédois.

Bon sirupeuse j’exagère peut-être : les 2 premiers morceaux tiennent tout de même la route si ce n’est leurs promesses. Mais le reste est vraiment trop peu inspiré et exécuté sans fougue. Certains titres sont même carrément agaçants (The mess age) et pourraient – au mieux – se retrouver sur la BOF d’une adaptation cinématographique de feu « Sauvés par le gong » ou je ne sais quel autre « Friends » (I got spades).
Et pourtant je suis sûr qu’ils peuvent nous le chier ce foutu album qui défouraille et mettrait tout le monde d’accord sur leur talent de composition alors s’il vous plait, messieurs, prenez exemple sur vos compatriotes de Hardcore Superstar et faites une cure de vitamines pour revenir nous botter le cul !

  1. people like people like people like us
  2. cockblocker blues
  3. dysfunctional professional
  4. we go a long way back
  5. roads
  6. blitzkrieg loveshock
  7. the mess age (how could i be so wrong)
  8. i got spades
  9. hold ‘em down
  10. heroes and heroines
  11. you cannot win
  12. things to do before we die

Artistes / Groupes

Record Label

Genre selon le Chroniqueur

hard rock

Catégories

Famille/Genre

Tags Styles

darkantisthene

darkantisthene

Il est né, il a chroniqué, il est mort, aurait pu dire Heidegger si... j'étais mort, si Heidegger était vivant et s'il s'était intéressé à ma prose autant qu'à celle d'Aristote. Et il n'aurait pas été à une connerie près le père Martin parce qu'avant de chroniquer, et après être né, figurez-vous que j'ai vécu ; et écouté de la musique.

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1 commentaire

Monster

il y a 19 ans

ça a l’air moins Wok éne Woooolleee que Hardcore Superstar !?

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