Bilan 2009 beunz

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Albums de l’année

KralliceDimensional Bleedthrough
A croire que tout ce que touche Colin Marston devient or, ce nouvel album de Krallice surpasse son prédecesseur qui avait déjà placé la barre très haut.


Agoraphobic Nosebleed Agorapocalypse
Quand les gonzo grindeux lachent leur côté « cyber » et composent de vrais morceaux, ça surprend mais Agoraphobic Nosebleed continue de tout dévaster sur son passage.


GazaHe Is Never Coming Back
Après un magistral premier album, Gaza brouille un peu les pistes avec ce « He Is Never Coming Back » peut-être un peu moins brut de décoffrage que je l’attendais mais tout aussi oppressant. Plus long à apprivoiser mais la haine de la bande de Salt Lake City est intacte.


Altar of Plagues White Tomb
Un cocktail réussi entre black metal et atmosphères « post ». Quatre morceaux à la fois épiques et monolithiques qui nous dévoilent là une chouette révélation du pays de la Guinness.

Zu Carboniferous
Mélangeant comme à leur habitude free jazz et noise, les italiens de Zu proposent avec ce « Carboniferous » un album hors norme, barré et à l’énergie communicative.


Upcdowncleftcrightcabc+Start Embers
Second album pour ces britons à nom de code de manette de super nintendo (qui ont depuis simplifié leur nom en UpCDownC, merci à eux), qui envoient un post rock aux mélodies envoutantes dans le sillage d’un Mogwai. Le meilleur album du genre cette année.

ManateesIcarus, the Sunclimber
Inconnus chez nous malgré leur précédente collaboration avec Oxbow, ces lamantins sont anglais et livrent là à mon avis le meilleur album de postcore de 2009. Certes ça rappelle Neurosis ou Isis ici et là mais leur boulot sur les textures sonores et autres ambiances les rapprocherait plus d’un Lento qui aurait pris un virage sludge. Intense.

Liturgy Renihilation
Pour leur premier album, les jeunots de Liturgy montrent que la scène black metal américaine est en plein renouveau. Un peu comme si Wolves In The Throne Room et Krallice (dont on retrouve Marston à la prod) s’étaient mis en mode hargneux. Prometteur.


She Said Destroy This City Speaks in Tongues
Encore une confirmation suite à un premier album quasi parfait. She Said Destroy appuie son statut de Dillinger Escape Plan de l’extrême: chaotique, complexe, lourd et mélodique, que du bonheur comme on dit sur TF1.


Austrian Death MachineDouble Brutal
Tim Lambesis, le leader d’As I Lay Dying, remet le couvert dans son délire Schwarzy/thrashcore avec cette fois un double-album. Si le premier reste dans l’esprit de « Total Brutal », inspiré des films de Governator, le second passe à la moulinette diverses reprises de Metallica, Motörhead ou encore Agnostic Front. Débile et ultra efficace.

beunz
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