Abigail Williams – In the Shadow of a Thousand Suns

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Style: black metal symphoniqueAnnee de sortie: 2008Label: Candlelight

S’il existait un manuel « Dimmu Borgir pour les nuls », Abigail Williams aurait vers quoi se retourner pour s’excuser d’avoir produit un disque aussi ennuyeux et prévisible. Malheureusement, ce livre n’existe pas et ils sont donc les seuls à blâmer pour avoir commis ce Enthrone darkness triumphant light renommé pour l’occasion In the shadow of a thousand suns. Attention, si l’adjectif light pourrait vous faire croire que vous trouverez dans ce disque un soupçon de ce qui a fait l’originalité de Dimmu Borgir, ne vous méprenez pas. Abigail Williams a en fait délesté l’album des norvégiens de tout riffs mémorables ou de mélodies de clavier efficaces. Bref, tout ce qui faisait l’intérêt des norvégiens. Même le chanteur n’arrive pas à avoir le même coffre que Shagrath et ne fait donc rien passer dans ces textes autrement que quelques cris indissociables et répétitifs. Pire que Cradle of Filth ? Je n’irais pas jusque là mais, je ne pense pas avoir besoin pour vous faire comprendre qu’In the shadow of a thousand suns ne sera même pas un remède digne de ce nom pour combler votre manque en black metal symphonique.

Chroniqueur

Mathieu Lubrun

Hororo est chroniqueur depuis 2004 sur Eklektik, bibliothécaire de profession, passionné de musique (metal, jazz, hip hop, electro …) et de comics. Alcoolique de concert et de disques, bavard et effervescent dès qu’il rentre en contact avec un artiste qu’il apprécie. Contactez-le pour lui dire tout ce que vous voulez à son adresse personnelle xhororox [AT] gmail [DOT] com et/ou suivez-le sur Twitter.

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