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Altarage – MMXV demo

Première démo pour Altarage – mystérieuse entité dont on ne connait que la provenance (Bilbao) et le fait qu’elle soit composée de membres issus d’autres groupes actifs de la scène extrême espagnole (mais sans les nommer) – et première mandale en seulement deux titres ! En effet, Sentient Ruin nous a une fois de plus déniché de nulle part un groupe à très fort potentiel au niveau saleté sonique.

Dysylumn – Conceptarium

A la vue de la cover de ce Conceptarium (ainsi que celle de leur premier EP éponyme), on peut directement se rendre compte de la passion pour l’astronomie de Dysylumn. Le duo lyonnais aime l’espace et tout ce qui gravite autour, allant jusqu’à incorporer cet aspect « cosmos » à son black/death metal mêlant aussi bien des éléments très techniques qu’une véritable atmosphère galactique.

Cattle Decapitation – The Anthropocene Extinction

Hautement respectés dans la sphère du metal extrême, les bouchers végétariens Cattle Decapitation font leur retour avec un septième album, tranchant toujours dans le lard… pardon dans le tofu. Pas de grand bouleversement à l’horizon: si vous avez apprécié Monolith Of Inhumanity, vous allez certainement vous délecter de The Anthropocene Extinction.

Atrament – Demo MMXV

Sentient Ruin ne chôme décidément pas et continue à dénicher des petits groupes gravitant autour de leur sphère de prédilection, à savoir le crust/sludge et assimilés. Cette fois-ci c’est au niveau local que le label a sorti un petit groupe qui n’en veut. Atrament est en effet un groupe originaire d’Oakland, Californie, qui sort un deux-titres sobrement nommé Demo MMXV.

Immortal Bird – Empress/Abscess

Originaire de Chicago, Immortal Bird est un jeune groupe ayant sorti un EP en 2013 (Akrasia, mixé par un certain Kurt Ballou s’il vous plait !) avant de passer au long-format cette année avec ce Empress/Abscess. Influencé par bon nombres de styles issus du metal ou du hardcore, ce court album (cinq titres pour 31 minutes quand même, mixé par Colin Marston (Krallice, Behold… The Arctopus) cette fois, se révèle être une sacrée bonne surprise !

Sulphur Aeon – Gateway to the Antisphere

Ils avaient marqué la fin de l’année 2012 et le début de l’année 2013 chez les amateurs de death metal, les allemands adorateurs de Cthulhu, Sulphur Aeon. Il faut dire que dans le genre « grosse sortie de death metal » ravageur, Swallowed by the Ocean’s Tide se posait clairement en patron, tant musicalement qu’esthétiquement (avec une pochette absolument magnifique). Pour un premier véritable album, on était déjà pas bien loin du coup de maître. Autant dire donc que ce nouvel album des teutons sorti il y a peu chez Van Records était attendu de pied ferme, et l’attente était d’autant [...]

Barren Earth – On Lonely Towers

Jusqu’ à présent je ne m’étais pas vraiment intéressé à la musique de Barren Earth, all-star band finlandais du metal extrême progressif. Ce combo, formé en 2007, comportait à l’origine des membres de Moonsorrow, Kreator, Amorphis, ainsi que le chanteur de Swallow The Sun, Mikko Kotamäki, qui a quitté le groupe en 2013 et est remplacé sur cette troisième galette par le chanteur féringien Jón Aldará.

Macerie – S/T

Ils débarquent de nulle part et ont emmené avec eux l’apocalypse. Voilà le genre de constat que l’on peut faire à l’écoute du premier EP de Macerie, jeune groupe en provenance de la belle ville de Florence en réalité. Ces quatre gaillards nous offrent avec ce premier EP un déluge de violence sonique en quatre titres fleurant bon l’hostilité au genre humain.

Xibalba – Tierra Y Libertad

Les rois du beatdown californien le plus latino qui soit sont de retour, nous abreuvant depuis leurs débuts de riffs tellement plombés que leurs signes de saturnisme sont préoccupants. Pourtant Tierra Y Libertad nous montre un Xibalba qui continue sa descente vers un death metal plus primaire entamée sur Hasta La Muerte en délaissant donc un peu plus le beatdown bas du front.

Sarpanitum – Blessed Be My Brothers

Guim vous avait prévenu il y a plusieurs années : Sarpanitum est un groupe avec lequel il va falloir compter quand on parle de death metal. Pourtant il s’est fait attendre ce deuxième album, qui sort finalement 8 ans après le premier, le très bon Despoilment of Origin. A cette époque Sarpanitum s’inscrit dans le sillage direct de Nile, mais parvient déjà à démontrer -au-delà du talent technique évident- de vraies qualités en terme d’ambiance et de riffing.