ambient/electro

A Swarm of the Sun – An Empire

De retour après cinq ans d’absence (« The Woods » – 2019), le duo suédois Jakob Berglund/Erik Nilsson AKA A Swarm of the Sun revient sur une nouvelle structure qui lui permettra sûrement une bien meilleure exposition (sans offense à son précédent label, Version Studio Records, dont je n’avais jamais entendu parler auparavant), j’ai nommé Pelagic Records.

Delving – All Paths Diverge

Cela aurait pu n’être qu’une parenthèse en attendant de reprendre la route avec Elder, mais Nick DiSalvo a décidé de donner une suite au très bon Hirschbrunnen (sorti il y a déjà trois ans). All Paths Diverge s’inscrit dans la continuité du premier album, soit un album où le gaillard fait tout tout seul (ou presque puisque l’on compte la présence d’un certain Fabien de Menou aux claviers Rhodes, et Michael Risberg à la guitare sur « Zodiak ») et fait à nouveau parler son talent créatif.

Mekigah – To Hold Onto A Heartless Heart

Rien de tel qu’un album pour frémir en plein mois d’août ! Mekigah vient d’Australie et sort avec ce To Hold Onto A Heartless Heart son cinquième album en seize ans d’existence, un album destiné aux oreilles averties !

Bad Omens – Concrete Jungle [THE OST]

(Damned, ma crédibilité trve, probablement déjà bien entamée, va encore en prendre un gros coup après la triplette de chroniques de Windwaker, Bring Me The Horizon et aujourd’hui Bad Omens).
C’est une semaine après le nouvel album de Bring Me The Horizon, l’excellent NeX GEn, soit le 31 mai 2024, que paraissait cet album des américains de Bad Omens, Concrete Jungle [THE OST]. Et s’il est particulièrement intéressant de le mentionner, c’est parce que les deux albums partagent de vraies similitudes de style d’abord, mais également dans la forme. Une même imagerie japonaise, bien que moins manga/bd pour Bad [...]

Graphic Nature – Who Are You When No One Is Watching?

Un album par an, c’est le gros rythme de croisière que semble s’imposer Graphic Nature. Le groupe anglais revient avec un second long-format de son néo metalcore, mélangeant modernité et « vieilleries » (car le néo, c’est plus vraiment neuf) sur fond d’agressivité toujours exacerbée…

The Depressick – Faded.exe

Duo mexicain issu de la banlieue pauvre de Mexico (Nezahualcoyotl pour être plus précis), The Depressick entend mettre en musique toute « la négativité, la misère, la pauvreté, la maladie et la crasse ». Un charmant programme en somme. Et pour ce faire, les deux gaillards (O.S. et S11, tels sont leurs pseudonymes) ont choisi le black metal atmosphérique avec une bonne lampée de black dépressif.

Wharflush – Shittier/Slimier

Si vous êtes adeptes de death metal underground, vous avez sûrement été interpelés il y a trois ans par la cover de Psychedelic Realms Ov Hell, album des floridiens Wharflush qui aime colorer ses dessins morbides de couleurs chatoyantes (psychédéliques, c’est marqué dessus). Revoici donc ces joyeux drilles (qui aiment apparemment prendre des psychotropes avant de faire du death metal) livrant ici une compilation de démos qui avaient été gardées dans les tiroirs jusqu’alors.

Nouriture – BARBARA VOL.1 Pastèque Planet

Nouriture (avec un seul R, et à l’envers) est un groupe qui n’aime pas faire les choses comme les autres. C’est même carrément leur ambition clairement affichée, proposer une expérience sans pareille à l’auditeur grâce à un rock très ouvert, même sur le théâtre, autoproclamé « mindfuck rock ».

Pa Vesh En – Sesyi Rytualistyčnyja

Notre fantôme préféré du Belarus fait son retour ! Pa Vesh En semble bien inspiré ces derniers temps, sortant ce Sesyi Rytualistyčnyja quasiment six mois après son Catacombs. Ce nouvel EP au nom énigmatique (ayant apparemment comme thématique central le rituel de Sesyi ? Ou quelque chose du genre car zéro trace sur Google) nous propose un mix de black metal à ambiances mortifères, totalement dans la lignée de ses méfaits précédents.

Voraath – Vol 1: The Hymn Of The Hunters

Débarquant de sa Caroline du Nord natale, Voraath aurait très bien pu débarquer d’une planète lointaine au vu de leurs costumes de scène pour le moins originaux (vous pouvez juger par vous-mêmes). Le groupe composé en réalité de membres et ex-membres de formations diverses comme Xael, Implosive Disgorgence, Accursed Creator ou encore Rapheumets Well, s’inspire ici forcément d’univers dystopiques et de science-fiction, avec en plus quelques références Lovecraftiennes (« The Leviathan’s Keep », sonnant par ailleurs un peu comme un Cattle Decapitation qui aurait participé à la bande originale d’Alien).