#2013

Alice in Chains – The Devil Put Dinosaurs Here

Qu’il était attendu ce nouvel album d’Alice au titre énigmatique!
Il fallait en effet confirmer la bonne santé de la troupe à Cantrell après un fabuleux retour il y a déjà 4 ans (cf chronique).

Wire – Change Becomes Us

« Wire est un groupe de rock britannique formé en 1976. D’abord associés à la première vague punk rock londonienne, Wire ont ensuite été un élément décisif du courant post-punk, en raison de leur son richement travaillé et atmosphérique, de leurs thèmes lyriques assez obscurs et, à un moindre degré, de leur position idéologique situationniste. » (Wikipedia)

Eibon – II

Trois ans après Entering Darkness, chroniqué en ces pages par mon collègue Krakoukass, revoici les parisiens d’Eibon avec un second album sous le bras. Ce dernier, sobrement appelé II, n’est étonnamment composé que de deux morceaux. Avant de hurler à la fumisterie, il est opportun de jeter un œil à la durée desdits morceaux, et là ça annonce du costaud puisqu’ils font respectivement 19 et 24 minutes !

Wolf People – Fain

Attention, (gros) coup de cœur avec cette toute récente découverte. Un groupe totalement inconnu pour moi avant que je ne pose mes oreilles sur ce 3e Opus des Anglais de Wolf People.
En premier lieu, comment ne pas être attiré par cette très belle et intriguante pochette, qui ne laisse pas filtrer le contenu du disque. Mais ce que nous découvrons une fois le disque posé sur la platine ne manque pas de charme et intrigue dès la première rotation de la galette.

400 The Cat – Stf Helix Nebula

Composé de gens de Morgue et Superstatic Revolution, les alésiens de 400 The Cat ne sont pas des nouveaux venus dans le microcosme noise hardcore sudiste. Formé en 2009, le groupe a notamment sorti un split en compagnie d’une autre valeur sûre du noise hexagonal, The Royal McBee Corporation, et passe aujourd’hui au long format avec ce Stf Helix Nebula.

Old Wounds – From Where We Came is Where We’ll Rest

Après avoir sorti de nombreux EP et splits, Old Wounds passe au long format. Enfin long, ça dure moins de 30 minutes quand même, assez de temps pour balancer 12 titres in your face d’un hardcore fortement marqué par la scène des 90’s.

Spiritual Beggars – Earth Blues

Afin de remplacer l’icône « chef d’œuvre » souvent utilisé à tort et à travers, notre bien aimé chroniqueur en chef Krakoukass m’a demandé de créer un nouvel icône « coup de cœur ». De ce fait, je suis bien décidé à l’exploiter un maximum, ce que je vais faire de ce pas avec le tout dernier album des Spiritual Beggars.

Rorcal – Vilagvege

S’il reste des survivants à l’abyssal Heliogabalus, la précédente offrande du groupe qui n’est constituée que d’une unique piste de 70 minutes de doom suffocant, ceux-ci peuvent se réjouir du retour du Rorcal. Les suisses sont en effet sortis de leur gouffre pour mieux y retourner, cette fois avec un peu de feu directement importé des enfers…

Leprous – Coal

Bilateral était clairement à mon sens, un des temps forts de l’année 2011, il était donc normal d’attendre impatiemment ce nouvel album des norvégiens, à l’étrange pochette…
Il a pourtant fallu plusieurs écoutes pour commencer à rentrer dans cette rondelle de charbon et même à succomber après 6 ou 7 écoutes, car les premières m’avaient plutôt laissé perplexe, voir même quelque peu déçu.

Benea Reach – Possession

Mais c’est qu’ils prennent leur temps les norvégiens de Benea Reach ! Déjà cinq ans que leur dernier album est sorti, c’est dire si l’attente pour ce Possession a été longue ! Monument Binothean et Alleviat ayant été de belles claques pour ma part, c’est donc plein de confiance que je me suis lancé dans l’écoute de ce troisième album.