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Acrania – Totalitarian Dystopia

Pochette immonde, Unique Leader comme label, tout porte à croire qu’Acrania soit la nouvelle tendance brutal death metal. Bien bernés que nous sommes en écoutant les premières mesures de Totalitarian Dystopia puisque le groupe londonien joue bien du brutal death…core ! Attendez, ne partez pas, c’est du deathcore ok, mais du bon !

TOAD – Vacant Face

J’avais prévu de parler depuis déjà de longs mois de ce groupe mais faute de temps, me voilà à le faire finalement pour la sortie de leur premier album, Vacant Face, qui fait suite à deux EP d’excellente facture (Rotten Tide en 2011 et Endless Night en 2013) et qui avaient déjà bien posé le style des américains de TOAD (pour Take Over And Destroy).

Bölzer – Soma

Clairement l’EP Aura sorti l’an passé a été une telle claque pour moi, que j’étais tout excité à l’annonce d’une nouvelle sortie des suisses de Bölzer. Un peu refroidi quand j’ai appris qu’il ne s’agirait que d’un nouvel EP, et de deux titres seulement, mais tout de même impatient de me replonger avec délice dans leur death metal halluciné.

Fallujah – The Flesh Prevails

L’année dernière, les 2 morceaux de l’EP Nomadic de Fallujah m’avaient scotché, on y voyait déjà le groupe affiner un death prog/technique à la fois brutal et atmosphérique qui laissait présager un album remarquable si ils arrivaient à confirmer ce petit air de fraîcheur et de nouveauté sur un album entier. Les 3 singles dévoilés par le groupe sur le net ces derniers mois ont depuis créé un buzz mérité sur la scène metal américaine autour de ce second album du groupe, The Flesh Prevails.

Trenchrot – Necronomic warfare

Tout va de plus en plus vite. Daniel Halévy l’avait remarqué il y a maintenant plus de 60 ans (non, pas dans la comédie musicale « Les dix commandements », suivez bon dieu). Notre musique préférée n’échappe pas au phénomène et il n’est alors pas toujours aisé de suivre le rythme. Heureusement, certains groupes nous aident dans notre démarche en parvenant à nous mettre un coup de boule dans les couilles (ou les ovaires, ne faisons pas preuve de discrimination) en deux temps trois mouvements. Necronomic warfare a indéniablement cette vertu.

Vermin Womb – Permanence

Les années passent, les groupes changent et l’histoire d’amour entre Ethan McCarthy et Throatruiner se poursuit. Un an après la sortie du premier Primitive Man et trois après le split de Clinging To The Trees of a Forest Fire avec Nesseria (puis le split du groupe tout court), voilà que le bonhomme fonde un nouveau groupe: Vermin Womb, dont le premier EP sonne tel un oppressant mélange de ses autres formations.

Nightfell – The Living Ever Mourn

Allez hop, Nightfell c’est un tandem derrière lequel se cachent Todd Burdette (Tragedy, His Hero is Gone) au chant et à la guitare, ainsi que Tim Call (Aldebaran, The Howling Wind) à la batterie et au chant également.

Septic Flesh – Titan

Chez Septic Flesh (ou Septicflesh, on s’y perd un peu) l’affaire semble entendue : on ne fera plus dans la finesse. Tout paraît en effet démesuré sur les derniers albums du groupe jusqu’au titre de ce nouvel album, le biennommé Titan. The Great Mass avait déjà solidement assis les bases de la nouvelle direction du groupe déjà amorcée avec Communion, et cette nouvelle offrande titanesque confirme haut et fort.

Dead Congregation – Promulgation of the Fall

Enfin il est là! Enfin il est là, et en même temps, les angoisses des adeptes de la congrégation grècque étaient réelles et bien légitimes. Car enfin, comment était-il possible d’imaginer qu’Anastasis Valtsanis et sa bande pourraient réitérer l’exploit de Graves of The Archangels, sorti en 2008 et déjà considéré (à juste titre) comme un des meilleurs albums de death metal de tous les temps ?

Jig-Ai – Rising Sun Carnage

Patrie de l’Obscene Extreme, de groupes tels que Gutalax ou Mincing Fury, la Tchéquie qui bourrine grassement vient nous faire coucou avec Jig-Ai et son troisième album. Avec ces derniers, c’est toujours pareil, un peu comme une invitation à un banquet où l’on ne prendrait même pas la peine de sortir de table pour rendre ce qu’on vient d’ingurgiter. Une marque de fabrique goregrind couplée à une influence manga/porno (gore là aussi) qui a fait ses preuves, notamment sur Katana Orgy, implacable dernier album en date du trio tchèque, mais remontant quand même à 2008 !