Styles

Zapruder – S/T

Quatre ans après l’insaisissable Fall In Line, Zapruder fait son retour. Un retour un peu compliqué étant donné que leur vocaliste s’est exilé au Canada entre-temps, ce qui n’a pourtant pas empêché le groupe de renforcer ses liens. Une fois de plus parti enregistrer au studio d’Amaury Sauvé (Birds In Row, Stuntman…), le groupe poitevin nous livre un album éponyme aussi riche qu’étourdissant, à la cover… à regarder de près !

Dead Can Dance – Dionysus

Pas facile de trancher entre le cœur et la raison à l’écoute de ce nouvel album du mythique duo Dead Can Dance…

The Ocean – Phanerozoic I: Palaeozoic

Retour des allemands de The Ocean, avec la première partie d’un concept album centré sur la période phanérozoïque, qui se situe juste après l’époque précambrienne comme tout le monde le sait. Temporellement vous l’avez deviné, on se situe donc juste après l’album Precambrian des allemands, le deuxième volet de ce concept en 2 parties devant sortir fin 2019 ou début 2020.

Teenage Wrist – Chrome Neon Jesus

Autrefois maison mère de tout ce qui se faisait de mieux en matière de punk rock (en même temps, c’est un certain Brett Gurewitz de Bad Religion qui l’a fondée), Epitaph Records a ensuite ouvert son catalogue à d’autres styles plus ou moins liés, signant de nombreuses formations incontournables (Converge, Architects, Parkway Drive ou encore Bring Me The Horizon) ainsi que d’illustres inconnus. Teenage Wrist fait partie de cette seconde catégorie.

Pendrak – S/T

Formé sur les cendres d’Autist, Pendrak est un trio parisien qui aime faire du grind mais pas que, puisque l’on retrouve dans ce premier long-format des éléments provenant du fastcore, du crust, du thrash, du death et de la powerviolence. Un tout donc très varié mais une cohérence folle née de ce très bon duo de voix, très versatile mais jamais en décalage, et à un sens de la compo très aiguisé.

Great Grief – Love, Lust And Greed

En plus d’être un pays touristiquement attrayant, l’Islande regorge de groupes tout aussi intéressants. Pas mal de groupes de black metal qui se sont forgés une solide réputation (de Zhrine à Svartidaudi en passant par Sinmara), et un peu moins célèbre, une scène hardcore tout aussi digne d’intérêt. Parmi elle, Great Grief, quartet qui n’en est pas là à son bout d’essai puisqu’il a déjà sorti un album Ascending // Descending (2014) et un split avec les américains de Bungler.

Kriegsmaschine – Apocalypticists

Comme si le nom du groupe n’était pas déjà assez chiant à écrire, voilà que nos polonais préférés en rajoutent avec un titre d’album bien galère à écrire en une seule fois sans se planter… Ah au fait, j’écris ces lignes le 24 décembre mais c’est certain, au cas où vous ne l’auriez pas deviné, et dans ce cas je préfère prévenir, que la musique de Kriegsmaschine n’est peut-être pas la bande son la plus indiquée en cette période de fête. Il me semble en effet peu recommandé de l’écouter en famille ces jours-ci au risque de faire fondre le sonotone de Mamie Claude et [...]

Amorphis – Queen of Time

Encore un rattrapage en prévision du top de fin d’année… J’ai d’ailleurs du mal à m’expliquer comment j’ai pu louper la chronique du dernier Amorphis, et ce alors même qu’il a tourné en boucle pendant plusieurs jours/semaines au moment de sa sortie.

Chroniques Express de Noël 2018

C’est toujours le même bordel en fin d’année. L’heure du bilan approche, et c’est là qu’on s’aperçoit qu’on n’a pas écrit toutes les chroniques qu’on pensait avoir écrites, ou qu’on a complètement oublié d’écrire quelques mots sur tel ou tel album qui le méritait pourtant. Sans compter les albums parus en toute fin d’année comme des petits sournois…

Vein – Errorzone

Gros disque sur lequel j’étais passé vraiment trop vite au moment de sa sortie (fin juin 2018)… Etant donné qu’il tourne en boucle depuis plusieurs jours, et qu’il va forcément s’introduire sans difficulté dans un top annuel pourtant loin d’être chiche, une chronique en bonne et due forme s’imposait… Rattrapage donc.