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Baical – Funeral Party

La nouvelle génération du post-punk semble bien active Outre-Rhin. Après le sympathique premier jet de Rope Sect, voici celui de Baical quelques mois plus tard (sorti en novembre dernier dans l’indifférence générale), trio de Leipzig qui nous entraîne dans une mélancolie communicative mais un peu plus sucrée que leurs compatriotes. En effet, ce Funeral Party possède une vraie touche new wave popisante enrobant idéalement l’optique goth/années 80 so dark pour un mélange nostalgique plutôt irrésistible.

Body Of Light – Time To Kill

Formé en 2012 en Arizona par les frères Jarson, Body Of Light a su façonner sa musique à la lisière des genres: synthpop, new wave, goth, techno, le tout avec un soin particulier à sonner « à l’ancienne » sans pour autant plagier les artistes/groupes des années 80 et 90. Après quelques sorties chez Chondritic Sound et Ascetic House, le groupe a naturellement signé sur Dais Records, label de Drab Majesty, autre duo qui apprécie les ambiances glaciales rencontrant des mélodies plus « sucrées ».

Frank Iero And The Future Violents – Barriers

Depuis la fin de My Chemical Romance, Frank Iero (guitariste du groupe) ne s’est pas reposé sur ses lauriers. Ayant signé deux albums solo avant ce nouveau projet, le gaillard s’est ici entouré de Future Violents, groupe composé de son fidèle comparse Evan Nestor, Matt Armstrong (ex Murder By Death), Kayleigh Goldsworthy (Dave Hause And The Mermaid) et Tucker Rule (Thursday).

Chroniques en Vrac – Novembre 2015

Un vrac de novembre sous le signe de vétérans et des retours réussis en 2015 : le rock puissant et irrésistible de Clutch, le post-punk aux atours new wave de Killing Joke, le black norvégien de Kampfar, et enfin le metalcore de Vision of Disorder qui signe son 2ème album depuis son come-back discographique de 2012. L’expérience au service de la qualité en somme. On en redemande…

Anberlin – Lowborn

C’est donc la fin pour Anberlin. Les membres du groupe américain ont en effet décidé de jeter l’éponge et de passer à autre chose, estimant avoir fait le tour du sujet avec Anberlin. La décision est tout à fait respectable, et l’est d’autant plus qu’ils ont décidé de déposer les armes après la sortie de leur 7ème album, ce Lowborn, ainsi qu’après une tournée d’adieu.

We Are Waves – Labile

Avec un tel nom, les italiens de We Are Waves auraient pu officier dans un style emo/metalcore à la mode, or fort heureusement il n’en sera rien. Faisant suite à un EP sorti en 2012, Labile, le premier long-format du groupe s’emploie à mettre un coup de neuf à la new wave, et le fait plutôt bien !

White Lies – Big TV

Sans vraiment faire de bruit, White Lies revient en cet été 2013 avec son troisième album Big TV. Plutôt confidentiel chez nous, le groupe anglais avait pourtant signé jusqu’alors deux albums d’indie pop, lorgnant vers un revival new-wave, ponctués de tubes entre rythmiques martialo-dansantes et feeling nostalgico-mélancolique.