post hardcore/sludge

Rolo Tomassi en concert à Paris demain mercredi 21 mars

On aura l’occasion de développer dans une chronique qui arrivera sous peu, mais les anglais de Rolo Tomassi viennent de sortir un monstrueux nouvel album de hardcore/post-hardcore copulant avec l’indie rock, et heureux hasard, il se trouve qu’ils passent demain soir en concert à Paris à l’Olympic Café sous la houlette d’Alternative Live.
Si vous ne savez pas quoi faire demain ou voulez voir les rosbeefs sur scène n’hésitez pas à faire le déplacement ça devrait envoyer comme il faut.
Ils seront accompagnés de Palm Reader et Cryptodira.




 
Plus d’infos ici :
https://www.facebook.com/alternativeliveprod/
https://rolotomassi.bandcamp.com/album/time-will-die-and-love-will-bury-it

Selva – Doma

Deux ans après le puissant Eléo, les italiens Selva font leur retour avec ce Doma, soient deux longs titres de onze et quatorze minutes, mixant toujours black metal et éléments post. L’univers déployé par le groupe de Lodi se veut donc progressif, dessinant des atmosphères lugubres volant souvent en éclat par des passages très agressifs. De quoi être séduit si vous avez apprécié l’album précédent…

Calligram – Askesis

Groupe international, comprenant des membres italiens, brésiliens et français, basé à Londres, Calligram s’est fait remarqué par Basick Records, label autrefois très en vue (mais beaucoup plus discret ces dernières années) en matière de metal à tendance progressive voire djent (qui a vu éclore de nombreux groupes talentueux comme The Arusha Accord, Devil Sold His Soul ou encore No Made Sense) . Rien à voir chez ce jeune groupe officiant plutôt dans un blackened hardcore particulièrement féroce.

Necrodancer – Void

Necrodancer, c’est la réunion de membres (ou ex-membres) de groupes s’étant fait un nom dans le petit monde du hardcore (au sens large du terme) franco-belge, ces derniers ont en effet fait leurs armes chez Verdun, Daggers, Death Mercedes et L’Homme Puma. Du beau monde qui a décidé de troquer leur style originel pour un gros rock de squats, urbain et crade, mâtiné de punk et de (black) metal.

Minors – Atrophy

Sorti en fin d’année 2017 alors que la période était à la recherche de cadeaux et de préparation de vacances de Noël, ce n’est qu’un bon mois plus tard que je me suis vraiment mis à ce nouvel album des canadiens Minors, pourtant fortement aguiché par la vidéo de « Miseranaut », sortie quelques mois plus tôt. Bref, il n’est jamais trop tard pour s’intéresser à un bon album !

Greber – Cemetery Preston

Greber est un duo pas né d’hier mais dont je n’ai appris l’existence qu’avec ce Cemetary Preston. Et mieux vaut tard que jamais car dix ans après la naissance du groupe (après deux albums et quelques splits), le duo derrière le projet livre ici une prestation très marquante. Qui sont ces deux personnes au fait ? Et bien à la basse et au chant, on retrouve Marc Bourgon (ex-Fuck The Facts) accompagné à la batterie et au chant par Steve Vargas (The Great Sabatini), bref des gars ayant de la bouteille dans le monde du gras et/ou méchant canadien.

Removalist – S/T

Oh que j’aime ces découvertes faites au hasard d’un clic sur Bandcamp ! Removalist n’avait pourtant pas grand chose d’aguicheur entre son nom assez passe-partout et sa cover d’album plutôt sobre. Ces australiens actifs depuis 2012 livrent pourtant ici avec leur premier full-length éponyme une méga torgnole de « blackened hardcore » (mais pas que), et ma première vraie surprise de 2018.