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Dead Witches – The Final Exorcism

Après une partie de Ouija il y a deux ans, Dead Witches nous propose aujourd’hui un exorcisme final. Vous l’aurez compris, le groupe anglais monté autour du batteur Mark Greening (ex Ramesses, Electric Wizard, With The Dead) possède comme thèmes de prédilection les sorcières, l’occultisme ainsi qu’une louche de satanisme tant qu’à y être. Et quoi de mieux que le stoner/doom pour délivrer cette messe noire ?

Fire Down Below – Hymn of The Cosmic Man

Quand on pense stoner, on n’irait pas forcément immédiatement imaginer des belges s’adonner à ce type de musique évoquant les grands espaces, la chaleur, le désert… Et pourtant Fire Down Below sont bien belges et leur dernier album en date (le deuxième) vaut bien qu’on s’y arrête un moment. Et c’est un non-fan de stoner qui vous l’écrit…

Carcharodon – Bukkraken

Fondé en 2003 en Italie, Carcharodon est un trio italien annonçant jouer du « macho metal », un style qui comme son nom l’indique oriente majoritairement ses lyrics vers le cul au point de nommer son (seulement) troisième album Bukkraken. Et pour mieux servir de tels lyrics, quoi de mieux que le poids du stoner/sludge accolé à un feeling death’n roll ?

Benoit – Master

Pas d’inspiration pour un nom de groupe ? Prenez un prénom ! Après Boris, Jean Jean et autres Toto, voici Benoit, qui ne se tourne pas et qui ne doit pas son nom à votre humble serviteur mais au célèbre catcheur Chris Benoit, star de la discipline ayant pété les plombs en assassinant sa famille et en se suicidant juste après. Contenant d’actuels et anciens membres de Black Sheep Wall, Colombian Necktie, Law, Drool et Wuss, Benoit joue un hardcore torturé teinté de sludge, de crust et de noise, le genre de mixture qui aurait pu sortir de chez [...]

Left Behind – Blessed By The Burn

Sorti une première fois en 2017, Blessed By The Burn, second album de Left Behind connait ici une seconde exposition via Pure Noise Records. Pour l’occasion, le label repart d’ailleurs dans ses incartades hardcore après quelques sorties pop-punk à la suite, sauf que le hardcore auquel nous avons affaire ici est métallisé et particulièrement lourd, bardé d’influences southern/sludge, ce qui dénote pas mal à côté de leur roster habituel !

Maeth – Whaling Village

Dans le genre découverte-inattendue-devenant-un-album-qu’on-pourrait-écouter-en-boucle, voici Maeth, groupe du Minnesota actif depuis 2011 et déjà auteur de trois albums avant ce Whaling Village. Majoritairement instrumental, le groupe réalise un mélange de genres à tendances progressives, du rock au doom en passant par le post-rock (et même un chouia de black metal et de stoner). Tout ça fait beaucoup mais le quintet a le chic pour sonner personnel et cohérent.

Boar – Poseidon

Trois ans après Venificae, Boar fait son retour avec un nouvel album. L’occasion de retrouver intacte la mixture de stoner, de doom et de sonorités plus psychédéliques chérie par ces sangliers finlandais. Poseidon possède donc de nombreux éléments similaires au précédent album mais n’en est en aucun cas la redite !

The Texas Chainsaw Dust Lovers – Film Noir

Un peu plus de trois ans après ma découverte de The Texas Chainsaw Dust Lovers par l’intermédiaire de leur sympathique EP  The Wolf Is Rising (2014), j’ai quelque peu perdu de vue le quartet parisien qui a pourtant sorti en 2016 un premier long-format (dont je n’ai pas eu connaissance) intitulé Me And The Devil. A peine un an plus tard, revoici le groupe armé d’un second album dont le titre, Film Noir, ne ment pas, cet album aurait bien pu servir de bande originale à un film du genre, ou plutôt à celle d’un western car l’atmosphère semble toujours située [...]

Dying Giants – Tales Of Giants

Premier EP pour Dying Giants, jeune formation toulousaine formée en 2015, ce Tales Of Giants propose quatre titres d’un sludge doom instrumental (avec quelques louches de stoner) totalement autoproduit. Un côté D.I.Y. qui se vérifie dans leur son « maison », pas aussi énorme qu’il aurait mérité d’être mais assez authentique pour agripper l’auditeur. Avec sa cover digne d’un film de série B, cet EP possède de quoi en signer une bande-son hypnotique.