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Graveworm – Killing Innocence

Vous vous souvenez quand les news/magazines metal mettaient bien en avant cette ribambelle de groupes de black metal mélodique à tendance gothique qui jouaient avec leur imagerie romantico-vampirique (au hasard, Cradle Of Filth) à la fin des 90’s/début 2000’s ? Graveworm faisait partie de cette brochette de groupes « sulfureux » et s’était notamment distingué à l’époque pour sa cover (assez dégueulasse) du « Losing My Religion » de R.E.M. Après huit ans de hiatus et plus de trente ans d’existence (!), ces italiens qu’on avait presque oubliés depuis font leur retour !

Moonreich – Amer

Déjà quatre ans que Wormgod est sorti, un EP qui laissait alors entrevoir de nouvelles perspectives pour Moonreich au black/death metal alors déjà très aventureux. Pour ses quinze ans d’existence, le groupe parisien revient avec Amer, son cinquième long-format venant confirmer ses nouvelles ambitions.

Thulcandra – Hail The Abyss

Projet parallèle du guitariste/chanteur d’Obscura débuté il y a vingt ans tout pile, Thulcandra est instantanément apparu comme un groupe-hommage très appuyé à Dissection, tant dans son approche mélodique de son black/death metal que dans ses visuels (les covers étant dans les teintes bleues-noires si chères à Necrolord, auteur des artworks de leurs premiers albums). Hail The Abyss est le cinquième album du groupe qui marque le coup en prenant un certain Dan Swanö (Edge Of Sanity, qui a aussi produit Dissection tiens tiens…) derrière la console.

Ǥứŕū – Nova Lvx

Avec son nom stylisé par plein de caractères bien chiants à faire soi même au clavier (merci au copié-collé), Ǥứŕū débarque de sa Bretagne natale avec un premier album intitulé Nova Lvx. Ce premier long-format contient quatre titres fleuves, dont deux déjà présents dans leur premier EP XX (2020) d’un black/doom metal à la thématique assez barrée comme annoncé sur la fiche promo: « Nova Lvx est un voyage mouvementé, la chronique d’un chemin de la chair drainée à la transmutation solaire. Faites l’expérience du black/doom de Ǥứŕū et éveillez votre cerveau reptilien ! Pénétrez dans le palais du feu [...]

Hyrgal – Session Funéraire anno MMXXIII

Même pas un an après avoir sorti leur troisième album (Hyrgal), premier album sous leur nouveau line-up (le groupe ayant été rejoint par l’ancien batteur de Svart Crown et d’un guitariste supplémentaire), Hyrgal revient sous format EP, proposant ici cinq nouveaux titres ainsi qu’une cover de Marduk.

Formalist – We Inherit a World at the Seams

Formalist, c’est une formation contenant pas mal de monde issu de la scène extrême italienne avec des membres de Malasangre, Viscera///, The End Of Six Thousand Years (dont on a parlé récemment) ainsi que le vocaliste Ferdinando Marchisio. Ce nom ne vous dit rien ? Ce n’est autre que la véritable identité de Herr Morbid, vocaliste de Forgotten Tomb. Le groupe a commencé ses activités il y a neuf ans puis a sorti en 2018 un premier album (No One Will Shine Anymore) avant de faire son retour.

Cepheide – Conséquences

Faisant partie des multiples projets de Joseph Apsarah, Cepheide a été débuté il y a dix ans tout pile. Un anniversaire célébré d’une manière singulière puisque le projet connaîtra une pause (à durée indéterminée) suite à ce Conséquences.

The End Of Six Thousand Years – S/T

Après dix années de pause, The End Of Six Thousand Years fait enfin son retour ! Le quintet italien (comptant en ses rangs des actuels et ex membres de Hierophant, Postvorta ou encore Viscera///) aura connu plusieurs évolutions durant sa carrière: des débuts mélodeath façon At The Gates avant d’inclure des influences crust et sludge sur Perpetuum (2012), son dernier album en date. Des envies d’ouverture qui se poursuivent sur ce nouvel EP éponyme où le groupe n’a jamais sonné aussi extrême !

Maktkamp – Caps Lock Woke Rock

Un an après I Affekt, premier album survitaminé des norvégiens Maktkamp, le jeune quintet d’Oslo vient remettre ça sous les mêmes auspices: un joli artwork toujours dessiné par Sigbjørn Lilleeng et une production maison aux petits oignons pour servir leur énergique tambouille. Le groupe reprend en effet les choses là où on les avait laissées et nous offre là neuf nouvelles compos mixant à nouveau black metal et rock’n’roll avec une puissance ultra euphorisante.

Nightmarer – Deformity Adrift

Jusqu’ici trio américano-allemand composé du chanteur John Collett (ex-Success Will Write Apocalypse Across The Sky, ex-Gigan), du batteur Paul Seidel (The Ocean, ex-Burning Skies) et du guitariste Simon Hawemann (ex-War From A Harlots Mouth), Nightmarer a récemment connu du renfort en accueillant à son bord deux nouveaux membres. Le guitare Keith Merrow (Conquering Dystopia) et le bassiste Nicholas McMaster (Krallice, Edenic Past) sont ainsi venus donner encore plus d’impact et de dissonances au death metal ultra sinueux de Deformity Adrift.