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Indigo Birds – The Influence Of Loneliness

The Influence Of Loneliness est le premier album des parisiens Indigo Birds, des oiseaux colorés qui le présentent ainsi « cinquante minutes d’une escapade sonore, un ambitieux premier opus. Une collection d’expériences capables de se nicher dans les oreilles du plus grand nombre ». Une description intrigante donnant déjà fortement envie de laisser éclore leurs œufs dans nos conduits auditifs…

cursetheknife – Thank You For Being Here

Jeune pousse originaire d’Oklahoma City, cursetheknife débarque avec un premier album se réappropriant un style ayant fait un gros comeback ces dernières années: le shoegaze. Et s’il parait délicat aujourd’hui de sonner original avec ces riffs et textures emblématiques des 80’s/90’s, ce trio réussit à sonner totalement frais.

Yves Tumor – The Asymptotical World EP

Yves Tumor (de son vrai nom Sean Bowie, rien à voir avec David) fait partie de ces artistes iconoclastes ne correspondant à aucune réelle case sur l’échiquier musical. Ayant débuté ses activités en 2010, le natif de Miami (vivant aujourd’hui en Italie) aura attendu cinq ans avant de sortir son premier long-format (When Man Fails You – 2015), qui sera suivi de Safe In The Hands Of Love (2018) puis Heaven To A Tortured Mind (2020). Difficilement classable, la musique d’Yves Tumor est en constante ébullition, ayant démarré dans l’electro expérimentale et ayant ajouté peu à peu des éléments [...]

Storm Orchestra – Storm Orchestra (EP)

Les parisiens de Storm Orchestra livrent avec leur premier EP (sorti en 2020) une bien chouette carte de visite dont on espère qu’elle sera la promesse de belles choses à venir. Officiant dans un rock alternatif musclé (sans aucune influence disco contrairement à ce que la pochette mensongère pourrait faire imaginer) qui n’oublie pas pour autant l’émotion à l’image de ce « The Shining of my Soul » qui commence en tapant fort, avant de laisser place à un refrain plutôt mélancolique, ou au contraire plus loin de « Call » qui joue la carte de la fausse balade qui sort les muscles [...]

Septa – Bitten By The Serpent Of The Kingdom Of The Spirit

On n’avait pas pris de nouvelles de Septa depuis 2014 et son EP Destroyer, c’est que le temps file ma bonne dame ! Depuis, le groupe ukrainien a poursuivi son bonhomme de chemin, alternant albums, EPs, live, covers et rééditions (tandis que son chanteur a aussi officié chez The Nietzsche en même temps), bref pas de temps mort pour eux ! Bitten By The Serpent Of The Kingdom Of The Spirit n’en contient pas non plus de temps mort, le nouvel album du groupe originaire d’Odessa est un nouveau mélange d’influences très variées sur fond d’une thématique plutôt originale: [...]

UNITYTX – Madboy

Pure Noise a toujours eu tendance à varier les plaisir, alternant ces derniers mois les sorties de hardcore metal bien fat (Left Behind), la pop punk plus gentille (Hawthorne Heights) et même un quelques songwriters qui la jouent acoustique (Cory Wells par exemple). Le label californien marche au coup de coeur et c’est ainsi qu’il est tombé sur UNITYTX. Mixant hip-hop et gros son hardcore metal, le groupe originaire de Dallas dénote forcément dans le roster !

Never Loved – S/T

Originaire du sud de la Floride, Never Loved est un jeune groupe qui vient d’apparaître dans le roster d’Equal Vision. Le quartet semble âgé d’une vingtaine d’années mais semble posséder les mêmes références que tout adolescent de cette génération, qu’elles soient musicales (avec MTV quand il y passait encore un peu de musique) ou sentimentales (rien que le nom parlera à beaucoup d’anciens puceaux boutonneux).

Shuffle – Won’t They Fade

Originaire de la Sarthe, Shuffle n’en est pas à son coup d’essai, le groupe ayant sorti Upon The Hill en 2015, premier album leur ayant permis de faire pas mal de concerts. Trois ans plus tard et avec un line-up un peu remanié, voici Won’t They Fade, nouvel album naviguant entre différentes eaux: progressives, alternatives et surtout avec des ambiances très travaillées.

Papa Roach – Who Do You Trust ?

Je dois admettre que sans avoir jamais été passionné par le groupe, éternel second couteau de la scène rap-métal ou néo-métal, je n’ai en même temps pas grand chose à reprocher à Papa Roach qui a finalement toujours su proposer des albums, à défaut d’être marquants, plutôt corrects dans le style. Je me suis cependant arrêté au cru 2004, d’ailleurs chroniqué dans ces pages, sans vraiment avoir suivi la suite. Un leak très en avance de ce nouvel album durant une période creuse en sorties (en gros la fin de l’année 2018) m’a amené à y jeter une oreille [...]