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Terrible Love – Change Nothing EP

Apparaissant en ce début d’année 2016, Terrible Love n’est pourtant pas un groupe débarquant de nulle part. Le jeune groupe londonien compte en effet en ses rangs des membres de groupes étant (ou ayant été car nombre d’entre eux ont splitté) très reconnus dans le microcosme hardcore britannique. Ainsi des membres de Bastions, Goodtime Boys, Funeral For A Friend, Crocus et Grappler (oui, c’est un line-up plutôt excitant !) ont donc décidé de fonder ce nouveau groupe au propos à forte teneur émotionnelle (comme nombre de leurs groupes originels).

Amorphis – Under the Red Cloud

Après ses débuts tonitruants, le groupe finlandais qui a fêté ses 25 ans cette année, a toujours eu à mes yeux cette image de valeur sûre, proposant toujours des albums de qualité mais néanmoins depuis quelques sorties, bien balisés et peu surprenants. Autant le dire tout de suite, ce nouvel album Under the Red Cloud confirmera sans problème cette idée : pas de révolution au menu. On reconnaît Amorphis dès les premières notes du morceau titre qui ouvre l’album.

Hundredth – Free

Malgré son titre, ce nouvel album de Hundredth n’est pas gratuit. Non, le groupe de Caroline du Sud semble avoir choisi ce titre dans un sens plus profond, tel un nouveau départ, libéré, délivré (pardon) de toute contrainte ou de ses choix passés. Une libération confirmée par une signature sur un nouveau label, et donc quelque chose de nouveau au niveau musical ?

Like Pacific – S/T

Formé en 2010, Like Pacific est un groupe de punk/hardcore venant du côté de Vancouver, mais attention en lisant le terme de punk/hardcore car ces cinq canadiens ne vous veulent que du bien.

Up River – Undertow

Amateurs de Tool alléchés par le titre de cet album, vous pouvez passer votre chemin ! Rien à voir en effet entre la bande à Maynard et ce jeune groupe originaire de Brighton. Up River correspond en réalité à la réponse anglaise à Touché Amoré, Have Heart et autres Defeater, soit du hardcore mélodique à forte teneur émotionnelle.

Goodtime Boys – Rain

Découvert par l’intermédiaire du trop méconnu label anglais Holy Roar Records (ayant mis sur orbite des groupes comme Brutality Will Prevail, Rolo Tomassi, Throats et ayant aussi participé à la percée de Trash Talk et autres Phoenix Bodies outre-Manche), Goodtime Boys a multiplié les sorties durant ses quatre ans d’existence, des EPs, des splits (dont un avec les excellents Self-Defence Family – nommés auparavant End of a Year), pour enfin livrer aujourd’hui un premier long-format, sortant conjointement chez l’un des labels référence en matière de hardcore: Bridge Nine Records.

Vales – Wilt & Rise

Après Clarity, remarquable EP (sorti alors sous le nom de Veils) il y a deux ans, on était en droit d’espérer une suite digne de ce nom de la part de Vales. Le groupe anglais originaire de Cornwall s’emploie donc avec ce Wilt & Rise à réitérer la même recette avec le même succès: faire hurler les décibels au travers d’un hardcore mélodique tout en faisant jouer la corde sensible grâce à un chant aussi poignant qu’expressif.

Neck Deep – Wishful Thinking

Neck Deep est un jeune groupe anglais (formé en 2012) ayant sorti pas moins de trois EP avant leur premier album Wishful Thinking. Si vous n’avez jamais entendu parler de ce groupe auparavant (c’était mon cas), c’est normal car les jeunots ne jouent clairement pas dans un registre souvent traité sur Eklektik…

Midlake – Antiphon

En l’espace de 3 albums, les Texans de Midlake se sont forgés une place de choix dans le monde du rock indé américain… pas une mince affaire compte tenu du nombre de groupes en activités. Encore plus difficile quand on choisi de s’orienter vers un folk vintage, une des tendances les plus suivies ces dernières années. Mais avec The courage of others, le groupe a su tirer son épingle du jeu avec un disque totalement envoûtant et hors du temps.
Alors que le groupe travaillait sur une suite logique, le leader Tim Smith jette l’éponge (insatisfaction du travail accompli [...]

Beaten to Death – Dødsfest!

Après un premier jet en 2011 (Xes and Strokes) qui annonçait la naissance de Beaten to Death, voilà les norvégiens de retour avec un « album », dont la durée n’est guère plus importante (19 minutes, emballé c’est pesé). 12 titres executés en aussi peu de temps, j’imagine que vous avez déjà deviné que c’est de grind dont il s’agit là.