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Drug Church – Hygiene

Avec une cote de popularité en augmentation constante, surtout après des tournées sur lesquelles le groupe était bien entouré (j’ai eu la chance de les voir en live il y a quelques années en compagnie de Title Fight) et un Cheer (2018) sonnant toujours aussi bien quatre ans après, autant dire que Drug Church était attendu au tournant avec ce quatrième album !

Bitter Branches – Your Neighbors Are Failures

Pour l’amateur de hardcore (aussi punk, noise que post), Bitter Branches représente sûrement l’un des supergroupes les plus excitants du moment. Constitué de Matt Ryan (Calvary) and Kevin Sommerville (Lighten Up) aux guitares, Dan Yemin (Paint It Black, Lifetime) à la basse, Jeff Tirabasi (Walleye) à la batterie et enfin l’emblématique Tim Singer (Deadguy, Kiss It Goodbye) dont les vocaux sont immédiatement reconnaissables, cette jeune formation de vétérans de la scène 90’s officie dans une optique discordante et rageuse.

VVorse – Kurjien Elegia

Quatre ans après le sympathique Ajapus Vapaudesta, les crustos finlandais VVorse font leur retour sur long-format, montrant que leurs nerfs ne se sont pas calmés dans l’intervalle. Kurjien Elegia reprend cette base crust traditionnelle avec rythmiques endiablées et vocaux en colère mais y agrémente de nombreux autres éléments venus d’autres styles voisins.

Weaponry – Everwinding Slaughter

Avec son logo qui picote et sa cover hommage à Mad Max, Weaponry annonce clairement la couleur: l’extrême violence sur fond de poursuite sur grosses cylindrées sur fond d’univers postapocalyptique est au menu de cet Everwinding Slaughter. Composé du multi-instrumentiste canadien Jo Capitalicide (Spectral Dance, Ice War… ici sous le pseudo Jo Steel) et du grogneur espagnol Dave Rotten (Avulsed, Putrevore…), le duo verse dans un mix de crust et de death metal aussi gras que bas du front.

Comeback Kid – Heavy Steps

Figure de proue du hardcore mélodique depuis ses débuts (en 2000), Comeback Kid est toujours là, montrant album après album que le groupe n’a rien perdu de son énergie au fil des ans. Heavy Steps marque l’arrivée des canadiens chez le mastodonte Nuclear Blast (le précédent, Outsider, était sorti chez le plus modeste New Damage Records), de quoi leur donner de nouvelles envies ?

Fenris Fuzz – Freaky Stories Of Daily Life

Avant toute chose, non le leader de Darkthrone ne s’est pas mis au stoner ! Fenris Fuzz est un groupe français monté par des membres de Fire At Will, sympathique groupe de hardcore mélodique dont je vous avais parlé il y a de ça deux ans (l’album Today Is Mine). Et s’il est toujours question de hardcore dans ce nouveau projet, le son est ici bien différent, pas vraiment dans l’urgence énergique mais plus lourd et ambiancé.

Le Tunnel de l’Enfer – A Tribute To Daylight

Ayant connu quelques mouvements de line-up, Stupid Karate a décidé de se relancer sous un autre nom: Le Tunnel de l’Enfer. Le quartet (agrémenté de membres de Gummo ou encore Penny At Work) est toujours aussi friand de films des années 90, vous aurez d’ailleurs sûrement capté la principale référence du groupe dans le titre de leur premier EP: le film-catastrophe sorti en 1996 Daylight (dont la version québécoise donne carrément le nom du groupe, tout s’explique !), dont l’acteur principal n’est autre que Sylvester Stallone, alors au sommet de sa popularité (un an après Judge Dredd). Eh bien [...]

Nyt Liv – Den Døde Sol

Deux ans après le très bon Ensomhedens Kolde Kald, premier album de ces danois un peu énervés, Nyt Liv revient avec un second long-format, sortant une fois de plus chez les très bons Indisciplinarian (Eyes, Anti Ritual). Et si vous aviez accroché à leur premier album (c’est bien mon cas), celui-ci devrait aussi vous convaincre.

Portrayal Of Guilt – Christfucker

Coucou les revoilou ! Portrayal Of Guilt semble vouloir rejoindre Thou en nombre de sorties en une même année. Non content d’avoir sorti l’un des meilleurs albums de 2021 avec We Are Always Alone et un excellent split en compagnie des non moins excellents Chat Pile, le trio texan revient en appuyant totalement son côté evil avec une cover toute noire, un nouveau logo bien crasseux (ou comme des fils de mandarine selon comment vous vous placez) et un titre entre le provocateur et le risible (ça aussi, c’est vous qui voyez).