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The Devil Wears Prada – Color Decay

Un an après le sympathique ZII, The Devil Wears Prada revient sur grand format. Color Decay est le huitième album du groupe de Dayton (Ohio), souhaitant apparemment pour le coup mettre toutes ensembles leurs multiples influences au milieu de leur metalcore, même leurs envies « grand public ».

A VOID – Dissociation

Trio franco-britannique (basé à Londres) qui n’en est pas à son coup d’essai (ayant sorti un EP – Roses As Insides en 2016 puis un premier long-format Awkward And Devastated deux ans plus tard), A VOID fait partie de cette jeune génération de groupes qui auraient bien voulu naître à Seattle au tout début des 90’s. Vous l’aurez deviné, c’est bien le grunge qui obtient là sa revisite, et avec un sens de l’accroche très affuté !

Anberlin – Silverline

Alors qu’on les pensait morts et enterrés suite à leur album Lowborn (2014)  ayant été suivi par un concert d’adieu quelques mois plus tard, Anberlin a fait un inattendu retour, d’abord en 2018 pour un concert de réunion avant de décider de vraiment s’y remettre un an plus tard. Le groupe floridien célèbre aujourd’hui ses vingt ans d’existence avec ce Silverline, nouvel EP sonnant presque comme si leurs huit ans de silence n’avaient pas eu lieu.

Fairweather – Deluge

Fairweather est de ces groupes hautement respectés Outre-Atlantique mais qui n’ont pas vraiment eu la même exposition en Europe. Fidèle à Equal Vision Records (Bitter Branches, Grayhaven, Silent Drive…) depuis son premier opus en 1999, le groupe de Virginie a pourtant connu huit ans de hiatus entre 2003 et 2011, revenant trois ans plus tard avec un album éponyme (Fairweather – 2014). Après une nouvelle pause conséquente, le sextet fait son retour avec cet EP nommé Deluge.

Dirty Shades – Lift Off

Jeune quartet originaire d’Angoulème, Dirty Shades sort avec ce Lift Off un second EP faisant suite à Specific Impulse (premier EP sorti en 2020). Orientant son propos sur des terres entre psychédélisme et space-rock, le groupe propose ici quatre nouveaux titres enregistrés live (que vous pourrez retrouver en vidéo ci-dessous) où l’on voit leur style s’affiner.

Alexisonfire – Otherness

S’il est bien un retour qu’on n’osait plus espérer en 2022, c’est bien celui d’Alexisonfire. Formé en 2001, le groupe de post-hardcore canadien avait sorti 4 albums très bien reçus par la critique. J’avais pour ma part était vraiment séduit par leur dernier album Old Crows / Young Cardinals sorti en 2009, et qui est revenu régulièrement sur la platine ces dernières années. Leur post-hardcore d’origine s’était un peu calmé, pour devenir très mélodique et flirter même avec l’émo, mais le résultat était aussi pêchu que prenant. Une des forces du groupe était déjà à l’époque la dualité vocale [...]

Metric – Formentera

Vous l’avez peut-être lu, mais si j’ai toujours eu une certaine sympathie (« Gimme Sympathy »!) pour les canadiens de Metric, c’est vraiment the Art of Doubt, leur album sorti en 2018 qui les a consacrés « groupe de cœur » pour moi. Un album que je continue à faire tourner régulièrement et que je trouve vraiment superbe de la première à la dernière note.
J’avais donc de trèèèèèès fortes attentes pour cette nouvelle cuvée 2022 parée déjà d’une bien plus jolie pochette que son aînée : Formentera (référence à l’île des Baléares du même nom ?). Et comme dirait l’autre « j’aime quand [...]

Greg Puciato – Mirrorcell

Depuis que The Dillinger Escape Plan n’est plus, Greg Puciato participe à des projets tels que Spylacopa, Killer Be Killed ou encore The Black Queen, ouvrant ses envies artistiques à d’autres courants que le mathcore. Pour son second album sous son propre patronyme (après Child Soldier: Creator Of God, sorti en 2020), le prolifique vocaliste y met tout ce qu’il possède, ses mélodies vocales immédiatement reconnaissables et quelques hurlements/modulations vocales comme à la bonne époque.

Puppy – Pure Evil

Rien qu’en lisant l’énoncé de cette chronique, on notera le décalage entre le nom du groupe tout mignon et le titre Pure Evil évoquant un album de black metal sans inspiration. Le groupe londonien aime en effet faire le grand écart, et ce nouvel album pioche tranquillement dans différents styles pour un bain frais et nostalgique.

Porcupine Tree – Closure / Continuation

Bon vous m’excuserez mais je vais commencer par râler comme ça ce sera fait et on pourra passer à la musique. C’est que Steven Wilson business man commence à m’exaspérer un tantinet. Pour commencer dans les griefs, même si celui-ci est mineur, annoncer un nouvel album plus de 7 mois avant sa sortie paraissait un peu prématuré et inutile (big up à tous ceux qui au contraire nous annoncent un album une semaine ou un mois avant de le sortir). Bien sûr vous me direz qu’après 13 ans d’absence, on pouvait bien attendre 7 mois de plus… Mais ce [...]